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OUTSIDERS DANS LA PRESSE

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Le Castor Astral, collection "Castor Music", 2014

 

 

La littérature rock est saturée depuis des années par les sempiternelles mêmes têtes de gondoles, à croire que soixante ans d’histoire se résumeraient aux seuls dix noms qui encombrent les étalages. On accueille donc avec soulagement et excitation ce gros livre où les Beatles, Stones, Led Zep ou Hendrix n’apparaissent qu’à la marge pour laisser place à ceux auxquels ils ont fait de l’ombre. Une plongée réjouissante et érudite dans les zones cachées de l’histoire du rock.” 

Christophe Conte, Les Inrocks

 

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Alors que la littérature rock se complaît de plus en plus à nous rabâcher les mérites des groupes les plus populaires, l'ex-plume de Libération ose enfin jeter un pavé dans la mare pour y nager à contre courant, direction la marge. Ce livre passionnant et d’une précision rare retrace tous ces instants de vie pour le moins acrobatiques. Le travail fourni est impressionnant.” 

Sam Nolin, Gonzaï

 

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Guy Darol réussit haut la main son pari un peu dingue d’écrire plus de 400 pages sur ces « héros de la malchance et du malentendu », petit peuple oublié de la musique à qui, seul, il rend ainsi un chouette hommage.” 

Agnès Léglise, Rock & Folk

 

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C’est en cherchant à cerner la galaxie Zappa que Guy Darol s’est aperçu qu’une ultime enquête restait à mener au royaume du rock : ses laissés-pour-compte. Il s’est lancé dans cette impressionnante croisade pour un résultat qui laisse pantois.” 

Jean-Pierre Simard, Rolling Stone

 

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Dans un style vif et lyrique, Guy Darol nous familiarise avec ces cœurs brûlés, de la chanteuse folk Karen Dalton, dévorée par les drogues et le sida, au guitariste Bobby Beausoleil dont le nom est aussi beau que sa vie fut tragique puisqu’il s’associa au tueur fou Charles Manson. Un hommage sentimental aux illustres disparus. 

Stéphane Koechlin, À Nous Paris 

 

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Hommage à ces musiciens qui n’ont pas connu la gloire qu’ils méritaient à travers près d’une centaine de biographies concises mais passionnantes.” 

Roseline Artal, Plugged

 

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Les outsiders du binaire vu par un poète, romancier et critique musical. Le meilleur essai jamais écrit en français sur le rock ?” 

Joël Raffier, JunkPage

 

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80 musiciens géniaux et fous qui n’ont jamais connu la gloire mais qui passeront peut-être à la  postérité, 80 têtes brûlées qui  sont à l’origine des grandes orientations musicales qui ont déterminé l’histoire officielle du rock.” 

Élisabeth Tchoungui, France Culture

 

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Psychédélisme, punk rock, rock progressif, soul music, noise, musiques cinématiques et minimalistes, gothic ou techno, rien qui échappe à ce boulimique de la contre-culture. Il en connaît les arcanes, les nuances et les héros – souvent anti-héros, du reste, tant leurs parcours erratiques peuvent se révéler pitoyables. Un livre de référence enrichi de précieuses annexes pour les amateurs. Pour les profanes, une plongée dans un univers impitoyable. Et une mine de découvertes.

Jacques Aboucaya, Le Salon Littéraire

 

*Si les 80 trompe-la-mort sont à recommander à des degrés divers, la prose de Darol leur assure une postérité toujours justifiée au son de genres (folk, rock, fluxus, free music, punk, no wave, performance, actionnisme…) aussi différents qu'eux.

Guillaume Belhomme, Le Son du Grisli

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Non, le rock n’est pas fait que de stars lumineuses traversant les décennies en rencontrant un succès constant. Il y a eu aussi de nombreux outsiders et le remarquable ouvrage de Guy Darol vient nous le rappeler.

Raymond Sérini, Nouvelle Vague

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Darol est un conteur, il a sa petite musique à lui et son livre mérite d’être découvert d’une traite ou en picorant façon boîte de chocolat. Et pas seulement par les mélomanes.

Jean-Marc Grosdemouge, Lylo

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Ces portraits n’ont rien d’anecdotiques. Ils montrent à quel point les avant-gardes artistiques sont en connivence. Il y a bien longtemps que le rock a gagné ses lettres de noblesse. Les connaisseurs le savent. Peu d’ouvrages cependant rendent un tel hommage à ceux qui restent à la lisière, au-delà de cette frontière dessinée par le projecteur.

Olivier Bailly, L’École des Lettres

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80 portraits de loosers magnifiques extrêmement bien écrits.

Coup de cœur d’Adrien Toffolet, Le Mouv’

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