Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

FRANK ZAPPA ❘ MIGUEL EGANA

 

FRANK ZAPPA 75.jpg

 

Ta guitare est vaincue et ne rejouera pas

Les rengaines chantées d’une voix aigrelette

Par un troupeau de freaks bêlant sous ta houlette,

Zigzaguant les accords à l’ombre de tes pas.

 

Ton rire sonnait haut pour que nul ne flippât

En découvrant sa chair griffée par la belette,

L’utopie morcelée d’une Amérique blette

Sous les idiots refrains que ton rock étripa.

 

Il aurait mieux valu que la mort te zappât,

Qu’elle oubliât ton nom sur sa liste, Zappa,

Qui danse maintenant avec d’autres squelettes.

 

Il nous reste ces airs calculés au compas,

Ce chaos minutieux que tu nous découpas,

Dans le brouillard épais de nos vies obsolètes.

Miguel Egana

 


VISITER LE SITE DE MIGUEL EGANA

 

 

 

Les commentaires sont fermés.