Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ALBERT MARCOEUR ❘ GUY BILLOUT

 

billout.jpg

 

 

Les suceurs de roue célérifères qui suivaient Albert Marcoeur en concert furent  proprement éberlués par le film de Nicolas Renou précédant les 23 pièces du set. Par une aubaine des dieux païens, l'ouvrage est visible sur commande. Le dessinateur Guy Billout auquel nous devons Il y a encore quelque chose qui cloche (Éditions Seuil/Crapule, 2002) est parvenu à transposer l'univers du Grand Albert. Le film met en scène un homme de la vie courante (sosie du compositeur à carreaux) qui, guettant l'arrivée du bus, assiste à des collisions d'engins rarement en circulation sur nos chemins bitumés. Réalisé en images 3D, ce bijou est une illustration inquiétante de l'attente, telle qu'on en soupèse le poids dans les textes de Dino Buzzati ou de Julien Gracq. La musique (pour qui ne s'en était pas douté) est d'Albert Marcœur, accompagné de ses brillants équipiers, parmi lesquels, François Ovide et Stéphane Salerno aux guitares, Farid Kenhouf à la basse et une myriade bien choisie de vents et cordes à soulever de terre un brontosaure. Osmose de l'image et du son. Un miracle. Guy Darol

 

 

ALBERT MARCŒUR/GUY BILLOUT

BUS 24

LABEL FRÈRES/WWW.MARCŒUR.COM

 

CONSULTER

ALBERT MARCOEUR

 

 

Les commentaires sont fermés.