Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

pink floyd

  • CLOWNS AND JUGGLERS ❘ L'HOMMAGE ITALIEN A SYD BARRETT

     

    Clowns and Juggers.jpg

     

     

    Un nouvel hommage (italien, cette fois) à Syd Barrett vient de paraître sur le label Octopus Records, en diffusion chez Orkhêstra International. Savoureux et poignant.

    Sous le titre Clowns And Jugglers, ce tribute réunit quinze groupes parmi lesquels Jennifer Gentle (dont j'ai déjà dit grand bien), Roses Kings Castles, Moltheni, Super Elastic Bubble Plastic, Mesmerico, Filippo Gatti, Atari, Baby Blue, Low-fi, Entrofobesse, Vanproof, Fuh, Gasparazzo, From Tropics With Love et Mad Hatters Project.

    CONSULTER

    www.octopusrecords.net
    www.myspace.com/octopusnapoli

    ORKHESTRA INTERNATIONAL


  • THE COMMITTEE ❘ PETER SYKES

    Le nom de Peter Sykes évoquera chez les plus pointus quelques épisodes de Chapeau melon et bottes de cuir. Mais ce réalisateur australien est principalement l'auteur d'un film ébahissant réalisé en 1968 et qui s'apparente à un certain cinéma d'idées tel que l'incarne Joseph Losey dans Le Garçon aux cheveux verts (1948) ou encore The Servant (1963). Peter Sykes revendique d'autres influences parmi lesquelles Georges Franju et il est bien vrai qu'en visionnant le DVD du film, Les Yeux sans visage (1960) nous contemplent en fond d'écran. Histoire d'une décapitation/recapitation, cette oeuvre au noir et blanc impeccable est avant tout une thèse sur le pouvoir des comités. Selon Peter Sykes, la société dans son ensemble est dirigée par des comités, petits groupes sans choix ni liberté imprimant sur le reste du monde l'impossibilité de choisir et l'incapacité d'être libre. Inspiré par les théories de Ronald Laing, le film témoigne d'un style (esthétique, rythme) qui ne pourrait percer de nos jours.

    Il est à noter par ailleurs que la BO de The Committee signée Pink Floyd (un soundtrack inédit) et qu'Arthur Brown (dont on ne saurait nier le Crazy World) apparaît coiffé d'une couronne en flammes. Au cours d'une party dont les protagonistes signalent furieusement leur appartenance à la deuxième moitié des années 1960, Arthur Brown chante frénétiquement The Nightmare. Sa marque de fabrique.

    Un film qu'il convient de découvrir pour la densité (et l'actualité) du propos autant que pour l'effervescence sonore et le brio visuel.

    Numériser.jpg

    THE COMMITTEE

    Peter Sykes

    CHALET POINTU, collection Martyrs Of Pop

    www.chaletpointu.com/editions

    www.martyrsofpop.com

    www.myspace.com/martyrsofpop