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art

  • ROBERT FILLIOU A DIT

    medium_numeriser0041.jpgROBERT FILLIOU, taoïste de gauche, gaga yogi a dit :

    Il faut être intéressé pour devenir intéressant, et si l'on aime, on vous aime.

    Si tu veux être poète, sache que le vrai travail se fait hors de la poésie.

    L'art n'a plus besoin d'art-scène, même si ça existe toujours ; l'art se fait là où tu habites... On fait l'art là où on est.

    Il y a toujours quelqu'un qui dort et quelqu'un qui veille

    Quelqu'un qui rêve en dormant quelqu'un qui rêve éveillé

    Quelqu'un qui mange quelqu'un qui a faim

    Quelqu'un qui se bat quelqu'un qui aime

    Quelqu'un de riche quelqu'un de démuni

    Quelqu'un qui voyage quelqu'un qui demeure

    Quelqu'un qui aide quelqu'un qui gêne

    Quelqu'un qui s'amuse quelqu'un qui souffre quelqu'un d'indifférent

    Quelqu'un qui débute quelqu'un qui termine

    SEULE LA FETE EST PERMANENTE

    Fluxus est juste un mot. Je ne suis pas membre d'un mot. Membre est un mot. Je ne suis pas membre. Je ne suis pas un mot. Je ne suis pas "Je suis". Je ne suis pas "Je ne suis pas."

    Le marché, c'est de la merde. Les grands marchands, les éditeurs, producteurs, agents, critiques : merde !

    Je ne veux pas laisser le champ libre aux proxénètes. Ils transforment tout le monde en putes. Ils "récupèrent" tout. De chaque protestation authentique ils font une source de profit.

    Je ne m'intéresse pas uniquement à l'art, je m'intéresse à la société dont l'art n'est qu'un aspect. Je m'intérsesse au monde en tant que tout, un tout dont la société n'est qu'une partie. Je m'intéresse à l'univers dont le monde n'est qu'un fragment. Je m'intéresse en premier lieu à la création permanente dont l'univers n'est qu'un produit.

    Si nous voulons être libres - tous libres, tous autant que nous sommes, pas seulement certains d'entre nous - nous devons non seulement tolérer mais accueillir le manque de discipline, la paresse, la spontanéité, la fantaisie et l'improvisation.

    Tout le monde est parfait.

    LE FILLIOU IDEAL

    C'est un poème d'action et je vais le présenter :

    ne rien décider

    ne rien choisir

    ne rien vouloir

    ne rien posséder

    pleinement éveillé

    TRANQUILLEMENT ASSIS

    SANS RIEN FAIRE

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  • RODOLPHE CINTORINO

     

     

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    Il y a des rencontres fortuites : un  artiste  vous côtoie sans que l'on s'en rende compte, comme cela, au hasard des journées ordinaires. Parfois, au comptoir d'un café, à un passage clouté, au pied d'une bibliothèque, chez un imprimeur ; sans que l'on sache que le talent est à nos côtés, sans que rien ni personne ne vous fasse signe, sans que quiconque ne vous prévienne, aucun élément, signe distinctif dans le visage de l'homme qui fait la queue dans la foule des Parisiens, rien  de particulier dans la sobriété des vêtements sombres qu'il porte, aucune étincelle dans l'œil. Et voilà tout à coup qu'un geste attentionné ne vous échappe pas. Il suit des yeux une image sortant d'une imprimante qu'il ne quitte pas du regard. Ceci vous fait écarquiller les yeux et avancer vers la machine, là où l'image glisse, belle et fraîche, vivante et forte. Copie d'une œuvre éclatante, prête à éclabousser au grand jour. Votre envie d'approcher la  machine est irrésistible. Vous découvrez quelque chose d'étonnant, peut-être un chef d'œuvre. Ce que vous voyez n'est pas courant, c'est intéressant, jamais vu, c'est superbe superbe ! Vous ne résistez pas au plaisir de parler à cet homme : le 'maître' de l'image ! J'ai devant moi, Rodolphe Cintorino, pas bavard, plutôt discret, mais je sais déjà qu'il m'intéresse, disons plutôt, ce qui sort de l'imprimante, que derrière l'image, sa personnalité, il existe une œuvre, c'est cela que je veux vous faire découvrir et vous faire VIVRE. Son oeuvre, on en parle déjà, on n'a pas fini d'en parler. Rodolphe Cintorino est un faiseur d'image, graphiste, plasticien, sculpteur de vérité... nullement de la mort. Son rapport avec le pays où il  a vécu, où il vit, est inséparable de son travail. Le rapport est culturel. Dans sa performance 'LUX', Rodolphe Cintorino et Emmanuel Lacoste utilisent la flamme comme moyen de se révéler. 'LUX' est proposé comme une occasion de repenser notre lien à l'autre : un lien en tension perpétuelle, basculant sans cesse entre évidence et aveuglement. Bienvenu Merino

     


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    LE SITE DE RODOLPHE CINTORINO

     


  • BIENVENU MERINO S'EXPOSE

     



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    12, rue des Patriarches
    75005 Paris


     

     

  • QUI EST SAMAYA ?

     

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    POUR DE VRAI

     

    C’est le titre de la prochaine exposition à Paris, consacrée à Samaya Veretout

    QUI EST SAMAYA ?


     

    «Une fille qui fend l’air sans avoir l’air…

       L’histoire commence au début de la Terre

       Nous étions nés avec déjà des adversaires

       Le cœur en acier

       Avec des sentiments de bois mélangés

       Au signal donné :

       Nous nous sommes mis à danser »

     

    C’est ainsi que s’exprime Samaya Veretout. Ex-championne de France, technique de’ Viet Vo Dao’ en 1997. Le Viet Vo Dao utilise les principes  Vo Vat, lutte vietnamienne, combinés aux techniques du judo.

    Samaya grimpe vite au sommet.  Imaginez, d’après ses vidéos, son parcours en flèche.

    Samaya est une féline ou plus exactement une gazelle, pourchassée dans son propre enclos. Légère, souple, bondissante, elle maîtrise formidablement son art avec une technique magistrale qui nous laisse muet ou bien avec des oh ! de murmures. Personne n’aura sa proie.

     

    Le vautour ne mange pas de feuilles, dit la chanson. Et l’homme n’est pas foncièrement bon. Mais en transformant, par l’alchimie du rythme et de la dérision, le combat en danse, c’est plus qu’une lutte joyeuse contre l’esclavage, la misère et la discrimination comme le mène la capoeira au Brésil. C’est une guerre victorieuse contre la violence et la haine qui domptées et bridées servent de montures fougueuses à l’amour goguenard et triomphant. On peut parler ainsi de l’art de Samaya. Danse martiale, combinée de ballet classique et de mouvements chorégraphiques tirés de quelques arts martiaux traditionnels japonais (karaté, kenjutsu ou aïdo) ou chinois (Kung Fu et Taïchi) et Vietnamien. Dans beaucoup de cultures, la danse est utilisée pour transmettre de génération en génération et de manière intéressante certaines techniques guerrières et mouvements provenant d’art martiaux pour éviter que celles-ci soient oubliées par le manque de pratique ou de pratiquants n’ayant plus autant de guerres et de combats à mains nues. Et nous ne pouvons que nous en féliciter. Bienvenu Merino

    ARTS MARTIAUX ET DANSE DONNENT A SES PEINTURES UNE ATMOSPHERE  SINGULIERE ET ENVOUTANTE

    A  NE PAS MANQUER

    EXPOSITION DU 25 MARS AU 5 AVRIL 2010

    VERNISSAGE 25 AVRIL

    16h-23h

    11 rue Saint Yves 75014 Paris  

    Tel : 01 43 20 95 95

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     www.myspace.com/quelquechosedebleu

     

     

  • KONRAD KLAPHECK ❘ GALERIE LELONG

     

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    François-René Simon nous signale l'exposition de Konrad Klapheck : "Le peintre des machines à tendance célibataire a retourné ses pinceaux depuis quelques années. Désormais, l'humain est au bout de ses soies. En particulier, les musiciens de jazz."

    GALERIE LELONG

    13, rue de Téhéran

    75008 PARIS

    EXPOSITION KONRAD KLAPHECK

    4 février - 27 mars

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    LE SITE DE LA GALERIE LELONG

  • MAKIKO A PARIS

     

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    Il est fort intéressant  de découvrir une jeune artiste-peintre, née au Japon, vivant à Paris, en plein cœur de la « Rue des Maléfices», c'est-à-dire de la rue Mouffetard, et faisant œuvre de ce qui l'entoure. Art semi-abstrait, entre jardins japonais, teintés d'atmosphères parisiens,  et mélange d'images photographiques évoquant un Paris millénaire, cosmopolite, coloré et brumeux, traité à la façon des peintures de son Japon fantastique. Il va de soi que la peinture de Makiko, imbriquée dans la transparence de photos donne ce flou de mystérieux à ses paysages qui semble marquer l'influence de l'Occident, où elle vit depuis quelques années et de son Japon d'où elle est native. Artiste venant de si loin, arrivée «Rue des Maléfices », où le souffle tiède des nuits mouffetardes vous enveloppe dans une atmosphère envoûtante et qui parfois vous prend par le bras dans ce paysage de la nuit lorsque l'on approche Paris par ses rues étroites, comme on  hasarde la conquête d'une femme qu'on sait trop belle et trop mystérieuse, ou bien qu'on se lance éperdument dans les bras d'un homme  pour lequel on éprouve des envies amoureuses. Gagnée ou perdue, la vie se doit d'être jouée. Nos félicitations à Makiko et bienvenue à Paris où elle a choisi de vivre, au cœur d'un quartier historique, fief captivant de notre capitale, où déjà son œuvre très affirmée  étonne les parisiens, dont elle sait se faire entourer, avec une grande admiration. Bienvenu Merino

     

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    Exposition

    du

    5 janvier  au 24 janvier 2010

    11h/19h

    ATELIER

    CHRISTINE VIRMAUX

    12 rue des Patriarches 75005 Paris

    Tél : 01 40 56 08 48

    *

    LE VERRE A PIED

    118 bis,  rue Mouffetard  75005 Paris

    Tel : 01 43 31 15 72

    *

    L'ATELIER D'ENCADREMENT

    6 rue de L'arbalète 75005 Paris

    Tel. : 01 45 35 02 01

    *

    (Trois lieux d'expositions proches les uns des autres)

    (Fermés le lundi)

     

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  • PHILIPPE LAGAUTRIERE

     

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    Philippe Lagautrière

     

    Chaque jour, je reçois centaine de mails, centaine d'invitations plus ou moins excitantes. Parfois, je fais passer et c'est ainsi que l'information se retrouve sur Rien ne te soit inconnu. Voici (et je me demande quel chemin de dédale l'a conduit jusqu'à moi) Philippe Lagautrière et ses tampons épinalesques. Lagautrière, enfant perpétuel. Voici les images d'un Missel onirique. Allez donc y lancer vos mirettes. C'est beau comme Mandrake revenu parmi nous.

     

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  • LOUIS MERINO, PEINTRE

    Il ne suffit pas d’emporter l’adhésion d’autrui par notre éloquence pour faire triompher la vérité. Si nous nous servons de la séduction, de la rhétorique ou de la flatterie afin de masquer la faiblesse de nos thèses, nous pouvons persuader les autres, mais pas les convaincre. La conviction suppose en effet que celui qui prend parti pour une idée soit lui-même convaincu de la validité de la position qu’il défend. Je connais Louis Merino, mon frère, depuis plus d’un demi-siècle. Vie réelle, vraie, sans artifice, sans théâtre aussi, ni comédie, jour après jour, années après années, sans relâche de travail et d’abnégation presque quotidien. Ce dont je suis sûr, c’est que Louis, le peintre, y croit. Je dirais de mon frère, le démiurge Louis,  qui en Grec, désigne l’ouvrier, l’artisan, celui qui travaille de ses mains. Nous connaissons tous, l’acteur Louis Merino, le comédien talentueux, généreux, le Buster Keaton du Théâtre, dans « Les évasions de Monsieur Voisin » mis en scène par Jacques Nichet et création du Théâtre de l’Aquarium, à la Cartoucherie de Vincennes ; le Premier Ministre espagnol Luis Carrero Blanco, en voltige , dans « La Passion du général Franco » d’Armand Gatti; le professeur, dans « Marabout », « La Trilogie du Nicaragua », pièce sur la torture, de Bruno Boëglin ; Paolo, dans la « Trilogie de la Villégiature » de Carlo Goldoni, au Théâtre de Nanterre-Les Amandiers, mis en scène par Jean Louis Benoit,  etc. Mais là, je parle du peintre, qui donne forme à la matière inorganisée en façonnant ainsi son univers. Louis nous fait une démonstration, à la fois témoignage pictural et outil d’une pensée, je dirais assez rigoureuse, qu’il met en scène sur la toile. Le voilà, peintre. Il n’est pas né peintre mais il le devient depuis quelques années. Il peint des ciels. A ce qui a été  dit : « Si le ciel est le séjour des divinités ; il est aussi le séjour des bienheureux qui viennent les rejoindre ».  Mais peu importe ce discours ! Croire ou ne pas croire ! Je connais bien mon frère, sur ce sujet,  mais s’il a réfléchi à cela, des choses existentielles, son  outil, aujourd’hui, la peinture, le guide vers les ciels. Dans un sens général, le ciel est le symbole des aspirations les plus élevées de l’homme, de la perfection de l’esprit.  Du ciel jaillit la lumière  qui nous éclaire et nous guide. Peindre un ciel est chose difficile. Picasso disait qu’un ciel était  impossible à peindre, et  que les peintres du dimanche s’obstinaient à peindre des ciels, alors que cela était impossible. Si nous distinguons le ciel atmosphérique du ciel religieux ce ne fut pas le cas dans plusieurs traditions qui le voyaient comme une coupole ou une voûte. A la crainte des désastres naturels issus du ciel, orages, foudre, cyclone… s’ajoutait alors la terreur que cette voûte ne soit mal soutenue et ne s’écroule réellement. De certains de ces ciels, on reçoit la lumière, donc, être admis à l’initiation. De façon générale, la lumière est le signe de la connaissance, opposée à l’ignorance. Parfois, dans ses ciels, apparaît une lune, aussi riche en symboles que le soleil ; la lune s’en distingue parce qu’elle ne fait que refléter une lumière qui n’est pas la sienne et qu’elle est soumise à un cycle qui détermine sa forme ou son apparition. J’observe le peintre face au chevalet où est posé le châssis avec sa toile tendue. En trois coups de brosse, le violet apparaît sur la toile. Ce violet résulte de la combinaison du rouge et du bleu ; il allie ainsi la puissance active du rouge avec la sagesse réflexive du bleu. Et il est le point  d’équilibre entre la passion et la réflexion, entre la terre et le ciel. Ce violet, n’oublions pas, a la couleur de la robe des évêques et du cœur des églises, le Vendredi saint. Le peintre Louis Merino le sait. Voyons un peu où il veut en venir.  Selon la mythologie, allaitée par Héra, Héraclès laisse tomber quelques gouttes de lait qui vont former la voie lactée. Se détachant clairement sur le fond du firmament, la voie lactée a inspiré de nombreux poètes. Pour les Incas, elle est le grand fleuve du ciel où le dieu Tonnerre puise la pluie. Et pour les Aztèques, elle est un serpent blanc dévoré chaque jour par l’aigle du soleil. Elle est aussi  le chemin des oiseaux, la couture du ciel ou encore la trace des pas d’un dieu chasseur ou des skies de l’ours, en rapport avec la Grande Ourse. Mais dans toutes les cultures, elle est la voie qui relie le monde céleste et le monde terrestre. On peut parler presque d’exploit en observant  chacun des ciels de Louis : «  Terres rouges d’Aveyron », «Coucher du soleil », « Le Ramage », « Mélancolie », « Tourment », « Terre de Feu », « Rencontre des éléments », « Figuration », « Ciel de Brest », « Espoir », « Nuages bleus », « Crépuscule », « Jardin dans le ciel », « Clair de lune dans l’Aveyron », « Impression de ciel », «Vision ésotérique », « Ciel capitale », ce ciel de Paris, vu au travers d’une petite lucarne de son atelier, là-haut au 7e ciel, je veux dire au septième étage, par l’escalier de service infligeant au peintre, à chaque escalade, un violent effort,  et je sais qu’il doit vraiment y croire, pour renouveler ces efforts aussi  intensifs, mais comme tout homme qui travaille, je  sais qu’il est récompensé, ce que Louis Merino, peintre,  mérite. Cela dit, pour le premier exploit. Le second exploit, est de mettre tous les ciels, tous, dans le train en partance pour Rodez. Et de là, de cette petite gare S.N.C.F. où  il est si souvent arrivé, fier, en terre non promise, des hommes et des femmes vont  acheminer ses œuvres par la petite route, qui mène à la très belle ville de Conques, où ils seront montrés au public, comme un présent, une reconnaissance aux Aveyronnais qui l’ont toujours bien accueilli. Bienvenu Merino

     

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    EXPOSITION DES PEINTURES DE LOUIS MERINO

    et

    délicats coups de pinceaux sur porcelaines

    de

    Françoise de Renéville

    Photographies de Denis Mathieu

    Centre culturel - Mairie de Conques

    12320

    25 juillet - 25 août

    2009

    Vernissage le 25 juillet

    18h

     

  • NICOLAS ROZIER ❘ L'ECROULOIR

     

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    Nicolas Rozier, poète (L'espèce amicale, Fata Morgana, 2006) et peintre (en tant qu'illustrateur notamment, il a accompagné des ouvrages dédiés à Guillevic et Charles Dobzynski), est l'auteur de L'Ecrouloir, une réflexion en forme de prosepoème sur l'un des derniers dessins d'Antonin Artaud.

    Il rend compte dans l'éclat d'un verbe élucidant de ce trait d'Artaud qu'était Artaud. Sa pratique (et connaissance) du trait jette un faisceau de grandes et belles lueurs.

    Artaud et le dessin : voici plus de clartés.

    Artaud et le regard : nous y voyons mieux.

    L'ECROULOIR

    NICOLAS ROZIER

    Editions de Corlevour

    45 pages, 10 €

    SITE DES EDITIONS CORLEVOUR

     

  • CLAUDE TARNAUD

     





    Exposition 
    Claude Tarnaud
    « Donc, te voilà nyctalope ! » 
    peintures, sculptures, manuscrits


    Claude Tarnaud (1922 Maison-Lafitte – 1991 Avignon)
    Poète surréaliste de la deuxième génération

    ELEMENTS DE CHRONOLOGIE

    Fondateur, avec Yves Bonnefoy, du groupuscule "La Révolution la Nuit" ; 
    rejoint en 1947 André Breton ; 
    participe à l'Exposition Internationale du Surréalisme et à la rédaction de "NEON" ; 
    rencontre Victor Brauner, Stanislas Rodanski, Alain Jouffroy et Sarane Alexandrian, 
    rompt avec André Breton fin 1948. 
    À partir de 1951, dans le cadre de ses activités comme traducteur pour le Bureau International de Travail et pour ONU, il vit à Genève, Mogadiscio (Somalie), New York et encore Genève. 
    À New York, il organise en 1961, avec Marcel Duchamp, l'Exposition Surréaliste : " Le Domaine Des Enchanteurs ". 
    En 1964 il fait la connaissance et se lie d’amitié avec Julio Cortazar. Fait la rencontre déterminante de Jacques Lacomblez la même année. Un an plus tard, avec Jean Thiercelin, ils forment un groupe "d'inséparables". 
    En 1969 il s’installe à Apt (Vaucluse). Il y exécute de nombreuses œuvres, plâtres "greffés", objets, collages, dessins, cire ou bougie, encre de Chine ou brou de noix.

    FRAGMENTS DE BIBLIOGRAPHIE

    · 1952, première publication : " The White Clad Gambler Le joueur Blancvêtu ou les Ecrits et les Gestes de H. de Salignac ", illustré par Henriette de Champrel (Gibbsy, son épouse) ;

    · autres publications principales :

    o La Forme réfléchie, Le Soleil Noir, 1954, L’Ecart Absolu, 2000 ;

    o L’Aventure de la Marie-Jeanne ou Le Journal indien publié à compte d’auteur en 1967, réédition L’Ecart Absolu 2000 ;

    o DE, L’Ecart Absolu, 2003

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    « Rien
    l’indifférence à l’état second
    le rêve en orgasme dans les gestes les plus simples
    et le gant jeté aux portes de la ville » 
    C.T. (au crayon sur bout de papier)

    +++

    Galerie nuitdencre 64 - 64 rue jean pierre timbaud - 75011 paris
    du 19 décembre 2008 au 10 février 2009
    ouvert du lundi au vendredi de 11h à 18h
    samedi sur rendez-vous


    vernissage le vendredi 19 décembre de 19h à 22h 

    VOIR LE SITE DE CLAUDE TARNAUD