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Musique - Page 3

  • DICK ANNEGARN ❘ LES ANNEES NOCTURNES ❘ 2007

     

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    « Je suis né à La Haye en 1952. Aux Pays-Bas. Pays du nord de la Belgique. Papa est interprète auprés de l'OTAN. Maman est fille d'ouvrier, d'un des premiers ouvriers de Monsieur Fritz Philips. Sa profession : épouse, mère de famille. Quatre enfants. Dont je suis le dernier. Le plus petit mais la plus grosse gueule, disait maman. Elle ne dit pas si je gueulais  par misère ou par colère. » Ainsi se présente Benedictus Albertus Annegarn dans un texte qu'il lit et peut-être vocifère, sous l'Olympia, en mai 1978. « Le rock-industrie et moi » est un résumé de vie et une pierre jetée contre la machine à fabriquer des étoiles mortelles. Après quatre albums (dont le définitif « Sacré Géranium ») chaudement accueillis, Dick Annegarn décide de « quitter la compétition ». Mais avant de changer de route et de rejoindre les chemins de halage qui ne mènent que là où on veut aller, le chanteur poignant prévient : « J'exècre ce marché d'images et de simulations. Je crains que ce soit un marché d'avenir. Ayant vécu ces mécanismes, je les dénoncerai tant que je pourrai. »

    Après « Citoyen » (1981), Dick Annegarn se retrouve sans producteur, méprisé par un système qui ne supporte pas la vérité crachée en face. Il réalise « Frères ? » et se ruine. Finis les éclairages spectaculaires, la gloire zoomée par Denise Glaser dans son Discorama de 1974. Le chanteur droit comme le i de l'insurrection (1, 90 m) achète deux péniches et ouvre un café-épicerie. « Je l'ai aménagé avec des loulous. Je ne voulais ni subvention ni alcool et aucun artiste à bord. J'y ai créé une association de journalisme amateur, la Petite Niche. L'Abeille (Association A But Essentiellement Instructif et Ludique) fut une tentative pour pratiquer des Radioscopies (selon le mot de Jacques Chancel) de gens de la rue. Certains textes figurant sur « Chansons Fleuves » ont été écrits avec des habitants de Noisy-le-Grand, là où étaient amarrés Le Gueux et La Gueuse. Saule Pleureur fut écrit avec mon copain Raymond, Gilgamesh avec mes amis arabes. L'histoire de ce café fluvial est illustrée par une chanson (La Limonade sur « Adieu Verdure », 1999) : « La limonade coule à flot dans mon auberge au bord de l'eau ». La précarité du projet a fait que ça a mal fini. J'ai vendu les péniches après l'insuccès de « Chansons Fleuves » et puis aussi pour payer « Frères ? ». Richard Galliano est gentil mais le manteau de fourrure de sa femme me coûte cher. »

    Entre 1985 et 1990, Dick Annegarn enregistre trois albums passés inaperçus bien que sertis de perles (« Frères ? », « Ullegarra », « Chansons Fleuves ») et dans lesquels vibrent l'écho de Bob Dylan et de Jacques Brel, de John Coltrane et de Miles Davis. Les musiciens se nomment Jean Avocat et Richard Galliano, Philippe Slominski et Dominique Pifarely.  Guy Darol

     

    Les Années Nocturnes

    Tôt Ou Tard/Warner


     

     


     

     

     

  • MICHEL MAGNE ❘ BERNARD GERARD

     

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    Dans la collection Ecoutez le Cinéma !, dirigée par Stéphane Lerouge, le volume 18 était très attendu. Pour cause, on y retrouve les bandes originales de films de Georges Lautner et plus particulièrement les musiques de Michel Magne et de Bernard Gérard. Celles qui accompagnent Les Tontons Flingueurs, Les Barbouzes, Ne Nous Fâchons Pas, Le Monocle Rit Jaune, La Grande Sauterelle, Galia.

     

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    Michel Magne

     

    Ce CD Universal est complété par un livret dans lequel Georges Lautner narre l'aventure compliquée et néanmoins heureuse qui le mena à collaborer avec Michel Magne. A propos de la BOF des Tontons Flingueurs, il déclare : "Michel Magne m'a pondu une musique à la frontière du canular...". Les connaisseurs intenses comprendront.

     

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    Bernard Gérard

     

    Ce nouveau volume permet de redécouvrir le compositeur Bernard Gérard. Le CD documente insuffisamment la trajectoire de Bernard Gérard et c'est bien dommage. La BO de Ne Nous Fâchons Pas est particulièrement réussie qui délivre d'incroyables surprises comme cette variation sur le thème de Gloria (Van Morrison) ou encore "Les adieux du colonel" à l'ambiance folk-psyché-pop que le titre est bien loin d'annoncer.

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    UNIVERSAL/ECOUTEZ LE CINEMA !

     

     


     


  • MARQUIS DE SADE ❘ RUE DE SIAM ❘ 1981

     

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    A la grande stupéfaction de ma copine du moment qui me connaissait des affinités indiscutables avec Captain Beefheart, Robert Wyatt et Frank Zappa, j'aimais faire tourner sur la platine les galettes des Stinky Toys, de Taxi Girl et de Marie et les Garçons. L'expressionnisme fut mis à l'honneur et des expositions des œuvres d'Egon Schiele et d'Oscar Kokoschka se relayaient confirmant que le corps en ce début des années 1980 n'était plus celui des désirs mielleux mais de la présence convulsive. Avec Joy Division et les Cure, il y avait du froid dans l'air. Le temps n'était plus aux étreintes qui tenaient lieu de langage mais à l'expressivité dramatique, à l'outrance gothique, à un certain climat d'orage comme l'avaient rêvé Antonin Artaud ou Frank Wedekind. Rue de Siam venait de paraître et la griffe du Marquis de Sade situait l'album dans une perspective sinon lettrée du moins frénétique. Le titre était une allusion au Brest de Pierre Mac Orlan et de Jean Genet, un bout du monde où la désolation des cœurs cherche l'embellie rapide. Magnifiques de rigueur sonore, d'exactitude de l'âme, les morceaux enchaînaient la splendeur : « Cancer And Drug », « Iwo Jima Song », « Back To Cruelty », « Final Fog (Brouillard Définitif) ». Frottés aux ténébreuses scansions de Lou Reed, à l'échappée belle des Stranglers, Frank Darcel, Christian Dargelos et Philippe Pascal, inaugurent un style voisin de celui de Schiele en peinture, expression préparée par un Dantzig Twist à la pochette façon bois gravé. La facture sonore est d'une densité rare. Mais la production est dûe à Steve Nye, un habitué du grand son. Collaborateur de Bryan Ferry, de David Sylvian et de Frank Zappa, on lui doit la série des Joe's Garage et des Shut Up...Enregistré en cinq semaines au Studio Ramsès, Steve Nye déplorera les limites guitaristiques de Frank Darcel devenu producteur et aujourd'hui romancier (Le dériveur, Editions Flammarion, 2005) tandis que Philippe Pascal fait tourner Blue Chain Choir, combo fidèle au blues de Big Joe Williams. Rue de Siam est un chef d'œuvre et Marquis de Sade un groupe phare dont on peut sentir l'influence sur Noir Désir, La Tordue, Casse-Pipe ou encore Red Cardell. Guy Darol

    MARQUIS DE SADE

    Rue de Siam

    Cobalt/Barclay

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    MARQUIS DE SADE

     

     

     

     

  • LE SACRE DU TYMPAN & ANDRE POPP, MICHEL MAGNE, FRANCOIS DE ROUBAIX, FRANCIS LAI

     

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    Nous l'apprenons dans les pages Rendez-vous de Jazz Magazine, Fred Pallem et Le Sacre du Tympan s'apprêtent à donner leur lecture des BOF de François de Roubaix, Michel Magne, André Popp et Francis Lai. L'événement qui aura lieu en 2010 suivra deux directions. La première, sous forme d'un tentet (quintette de cuivres et rythmique rock) ; la seconde en quintette electro, avec vidéo, orientée vers les musiques de François de Roubaix.

    Le Sacre du Tympa sera présent au New Morning, le 19 décembre prochain, accompagné des chanteuses Sandra Nkaké et Juliette Paquereau.

    Par ailleurs, il est de nouveau question d'une réédition des deux albums des Plus belles musiques de films de François de Roubaix. Restons aux aguets.

     

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  • GONG ❘ CAMEMBERT ELECTRIQUE ❘ 1971

     

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    Les murs du lycée Voltaire suintaient l'ennui. L'enthousiasme, nous l'éprouvions bouche bée à l'écoute de Roland Brunet et de Serge Koster, deux professeurs d'élite qui avaient misé sur le plaisir pour enseigner philosophie et littérature. Pour le reste, c'est au sommeil qu'il fallait résister ou à certaines démangeaisons de chahut. En ce temps-là, on s'éclipsait souvent dans les cafés environnants pour y pratiquer le babyfoot et la conversation sur un monde que nous envisagions de raser. Pour échapper à l'ennui et aux filles que nous ne parvenions jamais à approcher, on allait les uns chez les autres. Séances Teppaz. Des matinées entières, on faisait tourner une galette, toujours la même. Dans un contexte strictement scolaire, cette application aurait été récompensée. On étudiait en quelque sorte. En 1971, l'étude portait sur la dernière livraison de Gong : Camembert Electrique.

    Je conserve précieusement (disons-le, dans mon cœur), ces images de matin frais où j'arpentais la rue de Belleville pour rejoindre Patrick Mabire, le complice des cours séchés. Fragrances de tabac blond. La salle à manger où nous décortiquions sagement les sonorités galactiques sentait le tabac de pipe que fumait son père. Un onguent nécessaire pour accéder aux subtilités psychépop de la Planète Gong.  L'univers de Daevid Allen était habité de Pot Head Pixies et traversé par des théières volantes. Totalement fou. Mais doux. Bien moins spooky que les envolées lysergiques d'Hawkwind. Il régnait là une atmosphère souriante marquée surtout par l'influence des fairy tales et de Lewis Carroll. L'opus donnait envie de chanter et de sautiller sur les quais de métro. Ce à quoi l'on s'exerça longtemps lançant à pleine voix une sous la lune ou encore dynamite (avec l'accent de Glastonbury) à la station Châtelet sans craindre jamais de se faire épingler par la police du sous-sol. C'était vraiment délicieux.

    Inutile de préciser la qualité de cet album (qu'il faut bien dire culte) marouflé dans le château d'Hérouville, propriété de Michel Magne, produit par Pierre Lattès et enregistré par Gilles Salle. Objet sonore sans contour fixe, Camembert électrique associe les noms de Christian Tritsch, de Didier Malherbe et d'Eddy Louiss et c'est cela (avec la voix intersidérale de Gilli Smith) qui fait la différence.

    Reprises par The Orb, 808 State, Global, The Shamen, les pièces de cette inoubliable galette ne cessent de remuer les souvenirs et de nourrir l'inspiration. Jusque dans les contrées les plus inattendues. Five Fifteen, groupe finnois hard rock'n'roll, a récemment mis son horloge à l'heure de Gong en déclinant un singulier Six Dimensions Of The Electric Camembert. Guy Darol

    GONG CAMEMBERT ELECTRIQUE SPALAX/LA BALEINE, 1971.

     

     

    CONSULTER

    CAMEMBERT ELECTRIQUE

    PLANET GONG


     

     

  • SAGE FRANCIS ❘ A HEALTHY DISTRUST ❘ 2005

     

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    Issu de l'Université de Rhode Island d'où il décroche un diplôme de journalisme, Sage Francis envisage de commenter la réalité sans la farder de fausse suie. Il veut la dire à hauteur des faits vrais, comme il l'a connu, môminard des rues pauvres. Rappeur blanc, il part perdant. Pas sûr, car ce pur et dur de la cause hip-hop affirme qu'il n'a jamais dégoiser son flow sans savoir. A l'opposé du rap business où l'exhibition des carrosses d'or et des filles irréelles fait office de discours, le kid barbu cisèle une langue parfaite sur un mode ténébreux mais avec l'énergie d'un fidèle. A Healthy Distrust (Une saine méfiance) rappelle que Sage Francis prit le parti d'Anticon, pour Personal Journals, label voué à la critique sociale et placé sous l'égide situationniste de Sole. Après un Hope signé Non Prophets (Lex Records, 2003), le maître du spoken word qui taille des costards à la nuisance revient avec un poignant album. Authentique (quoique ce mot ait été bien sali), cet album consacre la branche historique du hip-hop avec  beats et basse fuligineux. Maître absolu des freestyle battle, Sage Francis parvient à combiner politique et poésie sans jamais être gonflos. Tout petit devant Neil Young qu'il vénère, il offre dans un style roman (c'est-à-dire bigrement épuré) un hommage définitif à Johnny Cash avec un « Jah Didn't Kill Johnny » qui grave à jamais sa dette dans les sillons de nos cœurs. Guy Darol

     

    SAGE FRANCIS

    A Healthy Distrust

    Epitaph/Pias

    CONSULTER

    SAGE FRANCIS

     

     

  • CLOWNS AND JUGGLERS ❘ L'HOMMAGE ITALIEN A SYD BARRETT

     

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    Un nouvel hommage (italien, cette fois) à Syd Barrett vient de paraître sur le label Octopus Records, en diffusion chez Orkhêstra International. Savoureux et poignant.

    Sous le titre Clowns And Jugglers, ce tribute réunit quinze groupes parmi lesquels Jennifer Gentle (dont j'ai déjà dit grand bien), Roses Kings Castles, Moltheni, Super Elastic Bubble Plastic, Mesmerico, Filippo Gatti, Atari, Baby Blue, Low-fi, Entrofobesse, Vanproof, Fuh, Gasparazzo, From Tropics With Love et Mad Hatters Project.

    CONSULTER

    www.octopusrecords.net
    www.myspace.com/octopusnapoli

    ORKHESTRA INTERNATIONAL


  • WIBUTEE ❘ PLAYMACHINE ❘ 2004

     

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    Sacré « pays de l'électro-jazz » par l'exégète Ariel Kyrou, la Norvège compte, il est vrai, quelques innovateurs susceptibles d'activer la venimeuse envie. Que l'on cite seulement Jan Garbarek, Nils Peter Molvaer ou Sidsel Endresen, ces trois noms sont un résumé d'excellence. Wibutee est d'essence parfaite. Cette formation quadrilatère est redevable à Bugge Wesseltoft qui travaille au sein de son label Jazzland à « une nouvelle conception du jazz ». Playmachine est un troisième album dans lequel irradie le compositeur de boucles Rune Brøndo aka Sterklang. La mécanique Wibutee qui repose sur le principe d'une broderie instrumentale autour de motifs électroniques réalise ici un ouvrage d'art digne du meilleur John Surman, surtout lorsque ce dernier est obsessionnellement spiroïde. Balancier idéal entre jack tracks vifs et plaintes élégiaques, basse haletante (Per Zanussi) et sax languide (Håkon Kornstad), Playmachine indique l'heure exacte. Avec son mood plânant, cette petite musique d'hivernage convient à ceux qui rêvent d'une cheminée où grésille un bon feu. Tranquille et imaginatif. Guy Darol

    WIBUTEE

    Playmachine

    Jazzland/Universal

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    WIBUTEE

    MYSPACE WIBUTEE

     

     

  • WHY ? ❘ ELEPHANT EYELASH ❘ 2005

     

     

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    Avec sa voix fluette et mélancolique, Yoni Wolf module une pop moelleuse très enviable. Frontman du quartet Why ?, son nom accompagne les épisodes discographiques de cLOUDDEAD et Reaching Quiet. D'autre part, Yoni n'hésite pas à prêter main forte auprès de déménageurs musicaux tels que Boom Bip, DJ Krush ou Sole. Attention, ce petit homme est en vue des grands de ce monde. Le style Why ? fait l'admiration de Boards Of Canada et de TV On The Radio. Formation d'élite, si l'on en juge par les salamalecs de Mùm et Stereolab. Vu ! Yoni Wolf emmène le groupe du moment dans un domaine auquel les mots manquent. Même si quelques maîtres en vivisection prétendent le ranger dans la case folk-hop. Présents sur le terrain depuis 1998, nos quatre Oaklandais ont poli leurs instruments dans le be-bop et le hip-hop. Elephant Eyelash assimile incontestablement tous les sédiments. Mais tandis que la plupart des groupes à guitares font entendre (encore et encore) les derniers échos du rock, Why ? réhabilite une acoustique ouatée. Les douze chansons du dernier album peuvent obtenir assurément l'adhésion de Ray Davies et de Brian Wilson. Nous les comparons volontiers aux pépites de Pet Sounds et à ces petites pierres d'alchimie qui composent Arthur des Kinks. On passera en boucle, sans jamais se lasser, « Waterfalls » et ses entrelacs chantés qui évoquent les madrigaux de Moondog. Ou, absolu chef d'œuvre, « Sanddollars» (pièce-titre du EP édité en mai), une énivrante chanson-gigogne qui rappelle nostalgiquement les élégies de Ian Dury et la voix cimetièreuse de Phelym Byrne. Mais qu'est devenu Day One ? Amateurs de suaves sérénades-révoltes, ne passez pas à côté de ça ! Guy Darol

    WHY ?

    Elephant Eyelash

    Anticon/Southern

    WHY? - Rubber Traits

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    WHY ?

  • JAZZ MAGAZINE ❘ JAZZMAN 609

     

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