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  • PREXLEY ❘ JEAN-MICHEL ESPITALLIER

     

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  • AMIS DE SAINT-POL-ROUX

     

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    La Société des Amis de Saint-Pol-Roux, présidée par Mikaël Lugan, a pour but la promotion de l'œuvre de l'écrivain et poète Saint-Pol-Roux ; l'approfondissement des recherches concernant son œuvre et sa vie ; l'archivage et la mise en valeur des éléments découverts et collectés au cours de ces recherches ; la mise à disposition de cette banque de données auprès des chercheurs et amateurs présents et futurs ; le développement d'activités culturelles, de célébrations et de manifestations visant à mettre en valeur l'œuvre de Saint-Pol-Roux et le patrimoine culturel ainsi constitué ; la publication d'un bulletin présentant et diffusant les résultats de ses travaux auprès de ses membres.

     

    Voici justement que paraissent deux livraisons du BASPR (Bulletin des Amis de Saint-Pol-Roux).

     

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    Le numéro 3 compile l'ensemble des recensions connues des Reposoirs de la Procession, trois tomes au long desquels le Magnifique s'affirme comme le mirifique poète en prose après Aloysius Bertrand.

    La multiplicité des signatures est éblouissante : Albert Mockel, Camille Mauclair, Gustave Kahn, Henri Ghéon, André Fontainas, Francis de Miomandre, Jean de Gourmont ... Des lettres d'enthousiasme accompagnent le délicieux volume, celles de Maurice Barrès, Francis Jammes, Paul Valéry ...

     

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    Le numéro 4 rend compte d'une synergie, celle des admirateurs du Magnifique convaincus que La Dame à la faulx, pièce en cinq actes et dix tableaux, doit être montée à La Comédie Française. Voici articles, missives, cernant l'impossible événement ainsi que traces au sujet du Banquet Saint-Pol-Roux, celui donné à la Taverne Grüber, boulevard Saint-Denis, à Paris. Une effervescence que résument les noms de Claude Debussy, Paul Léautaud, Edouard Dujardin, Auguste Rodin, Jules Claretie, Victor Segalen, Carlos Larronde, Maurice Boissard (alias Léautaud)... Notez, en supplément de ce riche et enrichissant bulletin, une défense de Camille Mauclair par Eric Vauthier, intitulée Le coin des conteurs.

     

    Vous ai-je persuadé de rejoindre la Société des Amis de Saint-Pol-Roux ?

    Si oui, contacter la SASPR au 33, rue Montpensier 64000 Pau

    Ou harcoland@gmail.com

    Je  salue le travail passionné, passionnel, passionnant de Mikaël Lugan qui nous rend visible Saint-Pol-Roux et ses contemporains majeurs.

    Ah ! qu'alors l'écriture était belle. Mais je m'emporte, ô venimeuse nostalgia.

     

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    LE SITE DES AMIS DE SAINT-POL-ROUX

     

     

  • CRLUSTRAUDE ❘ 2004

     

     

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    Sous ce nom de groupe qui aurait pu être choisi par Lovecraft se cache un trio (guitare, basse, batterie) au langage hallucinant. Les 9 titres de ce premier album éponyme viennent d'augmenter d'un coup la surface de l'étrange. Voici un précis de décomposition qui aurait pu enthousiasmer Cioran si jamais l'humoriste roumain s'était entiché de musique secouante. Crlustraude est-il un aérolite détaché du monde du jazz ou bien un éclat de rock arraché aux expériences de Robert Fripp ou de Roger Chapman ? Une chose est sûre, la liberté qui anime ce groupe a trouvé son inspiration chez Ornette Coleman. Et cette liberté épouse (si l'on peut dire) le ténébreux lyrisme de Robert Wyatt. Le batteur de Soft Machine devenu singer/songwriter « un ton au-dessus » occupe du reste une place importante dans ce précieux album avec une reprise superbement déstructurée d'« Alifib » et « Alife » provenant du sardanapalesque Rock Bottom. Le power trio (ère nouvelle) propose une lecture pareillement corrigée du « Sisters Of Mercy » de Leonard Cohen qui, une fois n'est pas coutume, rend la copie supérieure à l'original. Paysages sonores à la Harold Budd, distorsions vésuviennes selon les règles de mauvaise conduite des Sonic Youth, My Bloody Valentine et autres Slowdive, symphonies bruitistes manière Rhys Chatham constituent autant d'amers pour naviguer sur ce jeune océan miraculeusement né. Guy Darol


    CRLUSTRAUDE

    « Crlustraude »

    YOLK JADE

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  • JAZZ MAGAZINE 608

     

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  • MICHEL CHAMPENDAL ❘ A GUY DAROL EN SOUVENIR DU FUTUR

     

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    Il faut des cures de Grand Wazoo (Ryko, 1972) pour amadouer, dans la liesse, les instants de karma que furent ma vie avec Michel Duprey (1953-1982) et Michel Champendal (1954-2009), deux aminches chers, deux camaros trop vite happés par la faulx. Pas un jour sans le manque.

    Pour adoucir le manque, The Grand Wazoo est le meilleur véhicule, un transport qui m'emmène au temps des écoutes ludico-savantes, sapiento-déconnantes, temps sacré qui se perd désormais dans le grand rétroviseur.

    En 1995, Michel Champendal publiait ses Mémoires, ses étranges Mémoires intitulés A Guy Darol, en souvenir du futur. C'est dire quel lien spatio-temporel nous unissait. Dans ce petit livre à le couverture bleu ciel, l'aminche des dérives diurnes-nocturnes exposait ses facettes, ses tours d'écriture, ses goûts pour Louis Lecoin, Emma Goldman, Gaston Criel, Alphonse Boudard, Erik Satie, Julien Blanc, Georges Brassens, Frank Zappa, Gustave Flaubert, Sébastien Morlighem, Jacques Aboucaya, Epictète, Albert Paraz, Guy Darol (mais oui !), Lucien Suel. Tout était dit des élans et de l'épanchement vital qui caractérisaient ce revuiste-poète-épistolier-flâneur-bibliothécaire-éditeur-pacifico-libertaire. Tout était semencé et de l'herbe a poussé, des oisillons sont devenus fleurs, les brins sont à présent grandets. Seulement, le manque est le manque et Champendal n'est pas fumée, tout comme Michel Duprey. Leurs battements de cœur se confondent aux miens.

    Je ne sais si le livre existe toujours mais il fut publié naguère par Lucien Suel à l'enseigne Station Underground d'Emerveillement Littéraire. Programme que nous ne cessons de revendiquer.

    CONTACTER

    LUCIEN SUEL'S DESK

    A GUY DAROL, EN SOUVENIR DU FUTUR

    Michel Champendal

    EDITIONS S.U.E.L.

    102 rue de Guarbecque

    62330 Berguette

     

    ISBN 2-909834-16-6


     

     

  • ORLANDO DE RUDDER ❘ ECRIVAIN DE L'OMBRE

     

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    Être ou ne pas écrire est l'un des 21 chapitres d'Écrivain de l'ombre, récit vécu. Orlando de Rudder sait à peu près tout faire (romans, essais, pamphlets, dictionnaires ...) et il nous le raconte. Il sait écrire pour les autres, inventer des recettes de vie (plus ou moins zen), faire le nègre, bidonner.

    Il nous dit comment ça marche, le métier qui consiste à écrire des livres à la place de ceux (joli portrait de sous-officier !) qui se rêvent écrivains. Surtout, il explique l'impasse de toute tentative autobiographique et plaide (avec d'excellents arguments) en faveur de la fiction.

    Cet hommage à la fiction (sous le couvert d'un récit sur le métier de nègre) est tout simplement une célébration de la littérature. Un livre pour écrivains et un traité pour ceux que ça tente.

     

    ECRIVAIN DE L'OMBRE

    Orlando de Rudder

    Editions Pierre Mainard

    124 pages, 13 €

     

    CONTACTER

    Editions Pierre Mainard

    14, place Saint-Nicolas

    47600 Nérac

     

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    LE BLOG D'ORLANDO DE RUDDER

     

     

  • CLOGS ❘ STICK MUSIC ❘ 2004

     

     

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    L'inouï est un adjectif insuffisamment employé en musique. Le rare, l'exceptionnel et le déroutant ne font pas cohorte en ces temps où l'ordinaire est impérial. Seulement, il existe encore quelques têtes de mule, opiniâtres musiciens, obstinés compositeurs qui regimbent à se soumettre aux règles du commerce. C'est le cas de Clogs, quatuor américain dont le programme est d'abattre les cloisons qui divisent les genres et opposent les époques. Rien de semblable, tel pourrait être la devise de cet ensemble acoustique : violon, guitare, contrebasse, percussion. Stick Music, troisième opus, est un album dont on ne saurait dire s'il appartient au jazz, au post-rock ou à la musique savante contemporaine. Et peu importe d'ailleurs s'il se dérobe à toute griffe. Les références y sont multiples qui nous déplacent et nous remuent. L'univers de Clogs englobe l'Inde, l'Afrique, la musique klezmer. On y reconnaît des ambiances qui nous rappellent parfois les combinaisons instrumentales et mélancoliques des Rachel's, de Sigur Ros, le jazz de chambre de Tin Hat Trio, la profondeur et la transcendance d'Arvo Pärt, les mélodies aériennes de Toru Takemitsu. Cette musique de mystère (un mot qu'il faut comprendre au sens médiéval) a la densité d'une forme dure et cependant laineuse, comme un nuage qui nous porterait au-dessus des forêts. Guy Darol

    STICK MUSIC

    TALITRES

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    SITE TALITRES

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  • HARD'N'HEAVY ❘ JEAN SYLVAIN CABOT & PHILIPPE ROBERT

     

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    Comme toujours, Philippe Robert est impeccable. En témoignent Rock, Pop, Un itinéraire bis en 140 albums essentiels, Great Black Music, Un parcours en 110 albums essentiels, Musiques Expérimentales, Une anthologie transversale d'enregistrements emblématiques, trois ouvrages totalement indispensables, parus aux éditions Le Mot et le Reste. Avec Jean-Sylvain Cabot, spécialiste du hard rock et ancien collaborateur de Rock & Folk, il décrit en une centaine de tableaux l'aventure du hard rock et du heavy metal à partir de 1966. Ce premier tome - un second devrait bientôt paraître - est placé sous le signe de Sonic Attack, nom d'un titre d'Hawkwind sur lequel chante l'écrivain de sci-fi Michael Moorcock.

    Sélection d'albums significatifs d'une trajectoire coupée d'autres trajectoires (speed metal, glam metal, thrash metal, doom metal, grindcore ...), ce premier tome, qui nous emmène jusqu'en 1978, met en vedette les évidents (Led Zeppelin, Black Sabbath, Iron Butterfly, Mountain,  Ten Years After, AC/DC, Judas Priest, Motörhead...) mais jette sa lumière documentée sur des groupes que l'on veut aussitôt découvrir ou redécouvrir. Ainsi de Gun, de Blue Cheer, de T2, de Josefus, y compris des Variations de Marc Tobaly naguère salués par Lester Bangs. Le volume bien nourri aiguise l'appétit d'écoute. L'ouvrage se lit de manière haletante. On ne peut passer outre.

    HARD'N'HEAVY

    1966-1978

    SONIC ATTACK

    Jean-Sylvain Cabot et Philippe Robert

    Editions Le Mot et le Reste

    240 pages, 20€

     

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    SITE DES EDITIONS LE MOT ET LE RESTE



     

     

  • ANDRE BRETON ❘ LETTRES A AUBE

     

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    Née le 20 décembre 1935, Aube est la fille d'André Breton et de Jacqueline Lamba. En décembre 1956, elle épouse le poète et peintre Yves Elléouët, auteur du Livre des rois de Bretagne (Editions Gallimard), de Falc'hun (Editions Gallimard) et de Tête Cruelle (Editions Calligrammes). De 1938 à 1966, André Breton se fait l'épistolier qui adresse à sa "petite fée" un grand nombre de lettres, cartes postales, collages et dessins. Les Lettres à Aube viennent de paraître, un volume de 174 pages émaillé d'impressions de voyages, d'évocation de la maison de Saint-Cirq-Lapopie, de nouvelles du surréalisme mais également de réflexions au quotidien sur les résultats scolaires de sa fille, l'argent de poche, l'alunissage de la sonde soviétique. Une mine pour en apprendre sur André Breton et la vie ordinaire.

    ANDRE BRETON

    Lettres à Aube

    Présentation par Jean-Michel Goutier

    Editions Gallimard

     

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    Aube et Yves Elléouët

     

     

  • GERARD COURANT ❘ CINEMA ELDORADO

     

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    Jeudi 22 octobre, deux épisodes inédits des Carnets Filmés de Gérard Courant seront projetés au cinéma Eldorado de Dijon.

     

    BURGUNDIA II

    (2007, 1 heure 2 minutes)

     

    PROMENADE DANS LES LIEUX DE MON ENFANCE DIJONNAISE

    (2008, 1 heure 8 minutes)

     

    GÉRARD COURANT est un cinéaste spécialisé dans les films au long cours. On connaît son CINÉMATON qu’il tourne depuis 1978 et qui dure environ 150 heures. On connaît moins ses CARNETS FILMÉS qu’il a commencés dans les années 1970, qu’il poursuit aujourd’hui et dont la durée dépasse les 100 heures. Les CARNETS FILMÉS sont des archives cinématographiques qui regroupent toutes sortes d’éléments épars : essais, notes, croquis, esquisses, repérages, reportages, voire des rushes ou des films inachevés rassemblés ici pour former un ensemble proche de l’esprit d’un journal en littérature ou des cahiers de croquis ou d’esquisses chez un peintre.

    Jusqu’en 1992, les CARNETS FILMÉS de GÉRARD COURANT ne sont pas montés. Ils sont seulement conservés et classés dans un ordre chronologique de tournage. A partir de cette date, GÉRARD COURANT a commencé à monter les premières années en y adjoignant des inter-titres, un peu à la manière du cinéma muet. C’est en 1995 avec l’épisode LE PASSÉ RETROUVÉ que les CARNETS FILMÉS sont montés à mesure de leur tournage. Ces épisodes recouvrent des périodes allant en général de six mois à un an (et parfois même deux, voire trois ans) et durant entre 45 minutes et 2 heures. Peu à peu, ils sont transférés sur support numérique et GÉRARD COURANT les sonorise en composant des partitions sonores sur ce nouveau support.

    Parallèlement à ses CARNETS FILMÉS en cinéma Super 8, GÉRARD COURANT tourne également des CARNETS FILMÉS en vidéo dont les épisodes recouvrent des durées beaucoup plus courtes. (De nombreux épisodes anciens ne sont pas encore montés ou sont en cours de montage). Certains épisodes recouvrant seulement quelques jours, voire un seul jour comme sa trilogie ALICUDI, filmée sur trois journées en 2007.

    En 2007 et 2008, GÉRARD COURANT a filmé une dizaine d’épisodes avec téléphone portable qu’il a rassemblé sous le titre de DÉCALOGIE DE LA NUIT. Ces épisodes ont la particularité d’exister en deux versions différentes, le cinéaste oeuvrant un peu à la manière de musiciens qui composent des variations d’une même pièce sonore.

    GÉRARD COURANT a terminé à ce jour 90 épisodes de ses CARNETS FILMÉS : 33 sur support cinéma Super 8, 38 sur support vidéo et 19 avec téléphone portable. En 2009, l’ensemble de ce film en cours de tournage perpétuel dure 102 heures.

     

    Filmographie Carnets filmés en Super 8

     

    1977 : Aurore collective (1er janvier 1971 - 31 décembre 1977) 30 minutes.

    1978 : Le Contrebandier des profondeurs (1er janvier 1978 - 31 décembre 1978) 40 minutes.

    1979 : Jardins clandestins (1er janvier 1979 - 31 décembre 1979) 1 heure 23 minutes.

    1981 : Chemins intermédiaires (1er janvier 1980 - 31 décembre 1981) 1 heure 20 minutes.

    1982 : Montagnes endormies (1er janvier 1982 - 31 décembre 1982) 1 heure 35 minutes.

    1983 : Printemps météore (1er janvier 1983 - 18 mai 1983) 1 heure 25 minutes.

    1983 : Le Naufragé et le prisonnier (24 mai 1983 - 26 juin 1983) 1 heure 20 minutes.

    1983 : Le Voyageur sans ombre (29 juin 1983 - 6 août 1983) 1 heure 20 minutes.

    1983 : L'Arbre de la vie (10 août 1983 - 30 novembre 1983) 1 heure 15 minutes.

    1983 : Le Monde impatient (1er décembre 1983 - 31 décembre 1983) 1 heure.

    1984 : Les Vivants et les morts (1er janvier 1984 - 31 mars 1984) 1 heure 30 minutes.

    1984 : La Marche du temps (1er avril 1984 - 31 décembre 1984) 1 heure 15 minutes.

    1985 : Nuits transparentes (1er janvier 1985 - 31 décembre 1985) 1 heure.

    1986 : Les Jours et les nuits (1er janvier 1986 - 31 décembre 1986) 1 heure 15 minutes.

    1987 : Le Passeur immobile (1er janvier 1987 - 31 décembre 1987) 1 heure 20 minutes.

    1988 : L'Artifice et le factice (1er janvier 1988 - 31 décembre 1988) 2 heures.

    1991 : Le Nouvel hiver (1er janvier 1989 - 31 décembre 1991) 1 heure 50 minutes.

    1992 : La Terre des vivants (1er janvier 1992 - 30 juin 1992) 1 heure 7 minutes.

    1992 : Travelling (1er juillet 1992 - 31 décembre 1992) 1 heure 3 minutes.

    1993 : Vie (1er janvier 1993 - 31 décembre 1993) 1 heure 5 minutes.

    1994 : Le Passager solitaire (1er janvier 1994 - 31 décembre 1994) 1 heure 40 minutes.

    1995 : Le Passé retrouvé (1er janvier 1995 - 20 mai 1995) 1 heure 47 minutes.

    1995 : Itinéraires héréditaires (21 mai 1995 - 8 novembre 1995) 1 heure 36 minutes

    1996 : Le Ciel écarlate (8 novembre 1995 - 22 septembre 1996) 1 heure 31 minutes

    1997 : Voyage au centre du monde (16 mars 1997 - 16 avril 1997) 1 heure 10 minutes

    1998 : Le Nouveau désert (29 octobre 1996 - 31 décembre 1998) 1 heure 25 minutes.

    1999 : Derrière la nuit (1er janvier 1999 - 31 décembre 1999) 1 heure 22 minutes.

    2000 : Tout est brisé (1er janvier 2000 - 31 décembre 2000) 1 heure 20 minutes.

    2001 : Route d'argent (1er janvier 2001 - 31 décembre 2001) 1 heure 50 minutes.

    2002 : Zones césariennes (1er janvier 2002 - 31 décembre 2002) 48 minutes.

    2003 : Car seuls les nouveaux Dieux ont mordu la pomme de l'amour (1er janvier 2003 - 31 décembre 2003) 1 heure 1 minute.

    2004 : Délices lointains (1er janvier 2004 - 31 décembre 2004) 2 heures 5 minutes.

    2006 : Là-bas (1er janvier 2005 - 31 août 2006) 1 heure.


    Filmographie Carnets filmés en vidéo

    1975 : Philippe Garrel à Digne (Premier voyage) (2 mai 1975) 1 heure 43 minutes.

    1979 : Philippe Garrel à Digne (Second voyage) (28 avril 1979) 56 minutes.

    1982 : Passions (entretien avec Philippe Garrel I) (6 juin 1982) 1 heure 32 minutes.

    1988 : Et si on jouait (20 octobre 1988 - 25 octobre 1988) 27 minutes.

    2001 : Place Saint Michel (15 janvier 2001 - 28 janvier 2001) 80 minutes.

    2001 : Florence Loiret-Caille, Cinématon n° 2013 (17 janvier 2001) 29 minutes.

    2001 : Lucia Sanchez, Cinématon n° 2014 (24 janvier 2001) 23 minutes.

    2002 : Périssable paradis II (notes pour un monde nouveau) (2 septembre 2002 - 4 septembre 2002) 1 heure 21 minutes.

    2003 : Autour de 24 Passions (18 avril 2003) 32 minutes.

    2003 : Une semaine sainte (15 avril - 18 avril 2003) 1 heure 1 minute.

    2004 : Marsiho (Journal du FID 2004) (3 juillet 2004 - 5 juillet 2004) 2 heures 3 minutes.

    2004 : Lisa et Rose-Anaël (29 juillet 2004 - 30 juillet 2004) 30 minutes.

    2004 : Causerie d'un Martien en exil à Lyon (26 juillet 2004) 52 minutes.

    2004 : Un été amoureux (8 août 2004 - 17 septembre 2004) 1 heure 1 minute.

    2004 : Exposicion (Journal du Mexique) (23 octobre 2004 - 11 novembre 2004) 2 heures 4 minutes.

    2005 : Zouzou à Saint-Denis (5 février 2005) 44 minutes.

    2005 : Marselha (Journal du FID 2005) (2 juillet 2005 - 6 juillet 2005) 1 heure 21 minutes.

    2005 : Destination Fourvière (5 octobre 2005) 1 heure 28 minutes.

    2005 : Lugdunum (Journal du festival Doc en Courts 2005) (6 octobre 2005 - 8 octobre 2005) 1 heure 38 minutes.

    2006 : Un débat À travers l'univers (30 mars 2006) 1 heure 32 minutes.

    2006 : L'Ascension de Notre-Dame de la Garde et la descente vers le Vieux-Port de Marseille (23 septembre 2006) 1 heure 2 minutes.

    2007 : Jean-François Gallotte fait son cirque sur Zaléa TV (26 janvier 2007) 1 heure 2 minutes.

    2007 : Voyage dans les îles du Frioul (23 février 2007) 42 minutes.

    2007 : Alicudi 1 Bella (24 avril 2007) 1 heure 19 minutes.

    2007 : Alicudi 2 Selvaggia (25 avril 2007) 1 heure 8 minutes.

    2007 : Alicudi 3 Lontana (26 avril 2007) 1 heure 19 minutes.

    2007 : Rituels (6 avril 2007 - 25 octobre 2007) 1 heure 54 minutes.

    2008 : Fêtes blanches (21 mars 2008 - 20 septembre 2008) 1 heure 34 minutes.

    2008 : Jean Cocteau, Derek Jarman, Dresde de sang et de feu sur Radio Libertaire (2 avril 2008) 33 minutes.

    2008 : Coffret JM (25 juin 2008) 11 minutes.

    2008 :  ant">Saint-Marcellin vu par Gérard Courant (24 décembre 1983 - 21 septembre 2008) 1 heure 56 minutes.

    2008 : Promenade dans les lieux de mon enfance dijonnaise (2 novembre 2008) 1 heure 8 minutes.

    2008 : Le Tour du lac Kir (3 novembre 2008) 48 minutes.

    2008 : Un soir à Gennevilliers (13 décembre 2008) 19 minutes.

    2008 : Illuminations (26 décembre 2008) 1 heure 3 minutes.

    2009 : Tout était clair (2 avril 2009 - 25 mai 2009) 2 heures 8 minutes.

    2009 : L'Anniversaire de Bambou (8 mai 2009) 1 heure 37 minutes.

    2009 : Direction Sud-Est (8 août 2009 - 13 août 2009) 1 heure 28 minutes.


    Filmographie Carnets filmés avec téléphone portable

    2007 : Dans la gloire intime des nuages enflammés (26 novembre 2007 et 7 décembre 2007) 1 heure 15 minutes.

    2007 : Dans la gloire intime des nuages enflammés II (26 novembre 2007 et 7 décembre 2007) 1 heure 15 minutes.

    2007 : Banlieue Ouest (24 novembre 2007 et 9 décembre 2007) 42 minutes.

    2007 : Banlieue Ouest II (24 novembre 2007 et 9 décembre 2007) 42 minutes.

    2007 : Banlieue Est (12 décembre 2007 - 14 décembre 2007) 1 heure 11 minutes.

    2007 : Banlieue Est II (12 décembre 2007 - 14 décembre 2007) 1 heure 11 minutes.

    2007 : Massalia (20 décembre 2007) 27 minutes.

    2007 : Massalia II (20 décembre 2007) 27 minutes.

    2007 : Burgundia (23 décembre 2007 - 28 décembre 2008) 1 heure 2 minutes.

    2007 : Burgundia II (23 décembre 2007 - 28 décembre 2008) 1 heure 2 minutes.

    2008 : Le Temps et les rêves (9 janvier 2008 - 14 janvier 2004) 1 heure 11 minutes.

    2008 : Le Temps et les rêves II (9 janvier 2008 - 14 janvier 2004) 1 heure 11 minutes.

    2008 : Dresde de sang et de feu (24 janvier 2008 - 27 janvier 2008) 1 heure 2 minutes.

    2008 : Dresde de sang et de feu II (24 janvier 2008 - 27 janvier 2008) 1 heure 2 minutes.

    2008 : Louanges téméraires des heures divines (3 février 2008 et 6 février 2008) 1 heure 10 minutes.

    2008 : Louanges téméraires des heures divines II (3 février 2008 et 6 février 2008) 1 heure 10 minutes.

    2008 : La Ville des fantômes (15 et 16 décembre 2007, 6 et 19 janvier 2008, 10 février 2008) 2 heures 2 minutes.

    2008 : La Ville des fantômes II (15 et 16 décembre 2007, 6 et 19 janvier 2008, 10 février 2008) 2 heures 2 minutes.

    2008 : Rétrocompression (24 novembre 2007 - 10 février 2008) 45 minutes.

     

    Renseignements :

    LES AMIS DE CINEMATON

    37, boulevard Rouget de Lisle

    93100 Montreuil

    Téléphone : 01 48 59 76 92

    Courriel : gerard.courant@club-internet.fr

    Site : www.gerardcourant.com

     

    CINÉMA ELDORADO

    Site : www.cinéma-eldorado.fr