Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

actualité

  • IRVING FIELDS ❘ DENIS CUNIOT ❘ HENRI RACZYMOW

     

    medium_Numeriser0002.10.jpg

    A 91 ans, Irving Fields ne cesse d'ébahir. Ce fusionniste des musiques juives et latines dès les années 1950 vient de publier, sur le label Tzadik, un sublime recueil nostalgia au titre clair : My Yiddische Mama's Favorites. Pêle-mêle de mambos, de rumbas et de pièces solo, l'album rassemble d'énormes classiques et notamment Hava Nagila.

    Accompagné du percussionniste Roberto Rodriguez avec lequel il réalisa l'époustouflant Oy Vey...Olé!!!, Irving Fields est ici rejoint par Greg Cohen à la basse.

    "You are never alone when you're alone with music", Irving Fields.

    IRVING FIELDS TRIO

    My Yiddishe Mama's Favorites

    Tzadik/Orkhêstra

    www.orkhestra.fr

    medium_Numeriser0003.10.jpg

    Et je ne résiste pas au passage à l'envie de dire (et de redire, après mon article dans le numéro en cours de Jazz Magazine) mon émoi au sujet de Confidentiel Klezmer, l'album piano solo de Denis Cuniot, lequel signa naguère la musique d'En remontant la rue Vilin, le film de Robert Bober. Sa proximité avec l'univers de Cyrille Fleischman et particulièrement Rendez-vous au métro Saint-Paul (éditions Le Dilettante, 1992), ouvrage qu'il adapta pour la scène, m'évoque celui (assez voisin) d'Henri Raczymow qui vient de publier Dix jours "polonais" (éditions Gallimard), récit d'un voyage dans le temps qui précéda l'auteur de Reliques, expédition nécessaire pour faire converger toutes les sources.

    medium_Numeriser0004.12.jpg
    DENIS CUNIOT SOLO
    Confidentiel Klezmer
    Buda Musique/Socadisc
    HENRI RACZYMOW
    Dix jours "Polonais"
    Gallimard
    103 pages, 11 euros
  • PATRICK STRARAM

    57a98175c4b5d0812800eaae2df6cd2b.jpeg
    Patrick Straram et André Duchesne en 1973

    C'est en rejoignant le revue Crispur (Christian Gattinoni, Bernard Raquin, Henri Martraix & many others) que je connus le nom de Patrick Straram (1934-1988). Nous étions au début des années 1970 et l'on fréquentait les bars situés dans les radiales du Quartier Latin où l'on pouvait être compris en prononçant le nom de Patrick Straram. Je ne fus pas peu fier de participer dans ces mêmes années à un numéro Frenchy de la revue Hobo-Québec, véritable institution underground où le Bison Ravi (tel était l'autre nom de Patrick Marrast alias Straram) exerçait une grande influence. Longtemps je crus que cet écrivain au style bouillant était natif de l'Amérique du Nord. Il resta un local jusqu'à la parution en avril 2006 de Les Bouteilles se couchent (un vers d'un poème de René Fallet), roman court qui révélait tout de son existence parisienne et pré-situationniste.

    Les Bouteilles se couchent est assurément le meilleur livre sur l'état d'ivresse permanente. L'ivresse au-delà de l'ivresse. Celle qui se gagne en buvant coup sur coup jusqu'à ce que le corps se couche. Mais c'est aussi un précieux témoignage sur quelques figures connues : Guy Debord, Ivan Chtcheglov, Jean-Michel Mension, Michèle Bernstein. Dialogues faramineux. Vertigineuses paroles. L'écriture de Patrick Straram est un exercice sur le fil. Une prouesse. On abandonne le livre en titubant après avoir fréquenté intensément une dizaine de bars : Le Bouquet, Le Saint-Claude, Le Dupont-Latin, Le Métro et surtout Chez Moineau, situé 22 rue du Four et qui fut l'épicentre incandescent de la tornade situ.

    b50251f49446989bd3c9eed8963521d3.jpg

    LES BOUTEILLES SE COUCHENT

    Patrick Straram

    Editions Allia, 2006

    139 pages, 6, 10 euros

    www.alliaeditions.com

    LIRE EGALEMENT

    LETTRE A GUY DEBORD (31 octobre 1960)

    Patrick Straram

    Editions Sens & Tonka, 2006

    88 pages, 12 euros

    www.senstonkaediteurs.com

    VISITER

    SUR PATRICK STRARAM & GUY DEBORD

    REPERTOIRE NUMERIQUE DU FONDS PATRICK STRARAM

     

  • L'AFFAIRE ARTAUD ❘ COMMUNIQUE

    Ayant lu notre billet sur Nicolas Rozier, Florence de Mèredieu nous adresse ceci :

    affaire_artaud.jpg

    Florence de Mèredieu
    L'AFFAIRE ARTAUD

    Journal ethnographique

    Editions Fayard

    "L'Affaire Artaud" défraie depuis quelques décennies la rubrique des médias. —

    Blocage de la parution des Œuvres complètes du poète. Procès en cascade. Mise en cause de la transcription des cahiers manuscrits. Virulentes et ostentatoires campagnes de presses, à charge ou à décharge des uns et des autres.
    Miroir de la vie intellectuelle des années 1948-2008, l'Affaire Artaud apparaît comme un feuilleton médiatique, les journaux (Combat, Le Monde, Libération, Le Nouvel Observateur, La Quinzaine littéraire, etc.) ayant assuré une sulfureuse carrière posthume au poète, mort à Ivry en 1948.

    L'Affaire Artaud met en scène un poète maudit (Antonin Artaud), des manuscrits et dessins, une Grande Prêtresse (Paule Thévenin), une maison d'édition réputée (Gallimard), une famille (les Artaud-Malausséna), quantité de medecine men (Gaston Ferdière, Jacques Lacan, etc.), des intellectuels de renom (Jean Paulhan, François Mauriac, André Malraux, Jacques Derrida, Philippe Sollers, etc.), de grandes institutions (la Bibliothèque nationale de France, le Centre Georges-Pompidou, etc.), des avocats devenus de puissants hommes politiques (tel Roland Dumas).

    L'histoire comporte des familles, des clans, des tribus et des gourous, des "medecine men", des reliques, des magiciens, des éditeurs et des illusionnistes, des journalistes et des avocats, des collectionneurs et des intellectuels réputés. Elle s'est déroulée à l'ombre de prestigieuses institutions et jusqu'au cœur de l'État. Largement abreuvé d'informations qu'il ne peut maîtriser, le grand public ignore tout de ce qui s'est tramé, durant soixante ans (1948-2008), autour de l'œuvre de l'un des plus grands écrivains du XXe siècle.

    Largement médiatisée, l'Affaire Artaud demeure, cependant un sujet tabou. Un haut lieu de secrets auxquels bien des protagonistes de l'Affaire n'ont, eux-mêmes, pas eu accès. On s'interrogera sur les arcanes de cette histoire qui s'apparente souvent à un gigantesque marché de dupes.

    Entrée il y a 25 ans au cœur de l'Affaire, Florence de Mèredieu assiste et participe à ses rebondissements. Ce "Journal ethnographique" relate les événements, recense les documents et décrit ce que furent — en arrière-plan — les mœurs et les pratiques de ses différents protagonistes.

    Tout ce que vous auriez voulu savoir sur l'Affaire Artaud. Tout ce que vous n'auriez même pas imaginé.

    L'Affaire Artaud fut aussi — et peut-être surtout — une grande Affaire médiatique. S'attacher à la décrire amène inéluctablement à esquisser une certaine histoire de la presse (Combat, Le Monde, Libération, La Quinzaine littéraire, etc.) et de l'édition (Gallimard). Sans compter la description des relations complexes qu'entretiennent ici le droit et la littérature.

    Univers des réseaux, de la presse et des médias. Mondes cloisonnés de la psychiatrie. Grandes Institutions travaillant à l'ombre de l'État et dans les arcanes du pouvoir (Bibliothèque nationale de France, Centre Georges Pompidou, etc.). Intellectuels soucieux de traiter le poète mort à Ivry en mars 1948, à la façon d'un porte-étendard. Matière première de gloses interminables, le Grand-Œuvre d'Artaud n'a pas cessé d'alimenter l'histoire littéraire et journalistique.

    -----------------------
    Écrivain, essayiste, Florence de Mèredieu a longtemps enseigné l'esthétique et la philosophie de l'art à l'Université de Paris I (Panthéon-Sorbonne). Elle est l'auteur de fictions (Une si petite anthropophage, Des Femmes, 1981, Télévision, la lune, Des Femmes, 1985, Borges & Borges illimited, Paris, Blusson, 1993, Duchamp en forme de ready-made, Paris, Blusson, 2000. Et Beckett se perdit dans les roses, Paris, Blusson, 2007) et de nombreux ouvrages sur l'art moderne et contemporain (André Masson, les dessins automatiques, Paris, Blusson, 1988, Histoire matérielle et immatérielle de l’art moderne, Paris, Bordas, 1994, Larousse, 1999, Nouvelle édition augmentée, Larousse, 2004, "Hôtel des Amériques", essai sur l'art américain, Paris, Blusson, 1996, Kant et Picasso, le "Bordel philosophique", Nîmes, Jacqueline Chambon, 2000. Arts et nouvelles technologies, art vidéo, art numérique, Paris, Larousse, 2003, etc.)
    Elle consacre six ouvrages au poète — Antonin Artaud, Portraits et Gris-gris,(Blusson, 1984 et 2008), Antonin Artaud, Voyages, 1992 ; Antonin Artaud, les couilles de l'Ange, 1992 ; Sur l'électrochoc, le Cas Antonin Artaud, 1996 ; La Chine d'Antonin Artaud/le Japon d'Antonin Artaud, 2006 et une biographie : C'était Antonin Artaud (Fayard, 2006).
    En 1994-1995, Florence de Mèredieu adresse au Monde et à Libération deux Lettres ouvertes jamais publiées sur l'Affaire Artaud.

    Elle a collaboré à de nombreuses revues et ouvrages collectifs (Parachute, Art Press, Communications, Les Cahiers du Centre Georges-Pompidou, La revue d'Esthétique, Vertigo, etc.). Entre 1978 et 1991, elle écrit régulièrement dans La Nouvelle Revue Française (revue de Gallimard).

  • GERALD BLONCOURT PHOTOGRAPHE FRANC-TIREUR

     

    Gérald B. sur grand écran.jpg
    Gérald Bloncourt sur grand écran à la mairie du 11e arrondissement
    par Bienvenu Merino

    Né le 4 novembre 1926, à Haïti, Gérald Bloncourt est à 20 ans, artiste et leader des journées révolutionnaires qui secouent Haïti, début 1946. Il doit s’exiler en France pour échapper à une condamnation à mort par la junte militaire qui a pris le pouvoir. Devenu photographe, membre du P.C.F. et responsable photo du service politique du journal l’Humanité, il décide de faire de son objectif une arme au service de son combat humaniste.

    « JE NE SUIS PAS UN MARCHAND DE PHOTOGRAPHIE, JE SUIS UN FRANC-TIREUR DE L’IMAGE ».

    Ici, dans les salons de la Mairie, 50 ans de photographies résumés en moins de cent  images époustouflantes de vérité, de sensibilité, témoignages d’un monde tourmenté, de tueries dans le cher Haïti de son enfance, d’émigrés venus du monde entier s’entassant dans les bidonvilles de la région parisienne, dans les années 1960, de travailleurs hors du temps, de mineurs du nord de la France aux visage de saints terrorisés par le destin,  de femmes, d'enfants et d'hommes anonymes acculés par la souffrance et la lutte quotidienne. Bienvenu Merino

    Bloncourt Belleville.jpg

    Belleville par Gérald Bloncourt

    EXPOSITION DU 23 AU 31 JANVIER

    Film/entretien sur grand écran avec Gérald Bloncourt

    Salle des fêtes de la mairie du 11e arrondissement deParis

    Place Léon Blum Paris 75011

    Métro Voltaire

     

    Belmondo - Bloncourt.jpg

     

    Photo Gérald Bloncourt.jpg
    Photo: Gérald Bloncourt.
    Angela Grimau, femme de Julian Grimau, au moment de l'annonce de l'exécution de son mari, militant communiste espagnol. cela se passe à la Bourse du travail à Paris, au cours de la manifestation réclamant  l'arrêt de la sentence. On lui apprend avec des fleurs que son mari vient d'être fusillé. Son regard montre l'immense douleur qui l'envahit.

     

     

    Poème de Gérald Bloncourt

     

    Paris quelque part

    Le ciel blafard et l’ombre muette

    jettent leur valise au regard du monde

    la faim gèle sa cadence

    au pluvieux nuage que mord l’étain

     

    Le vent céleste et la molle cerise

    appellent la tendresse et le rire bruyant

    Je vois mourir l’ombre des grands toits

    Et se tordre le gris des ardoises tristes

     

    Je vois miauler

    la couche d’asphalte

    j’entends grincer pleurer la radio

    et la joie.

     

    Et je dis au courant qui gratte

    l’espace

    voici venir l’ombre vaste

    des cyclones hargneux.

     

    Je boucle ma valise pour un port

    plus doux

    et je nage dans l’équilibre de la sueur

    moite.

     

     

    LE BLOG DE GERALD BLONCOURT

     

  • BRUCE BENDERSON ❘ CONTRE-CULTURE

     

    61cc3afe27b0d120a05bc6accb02f943.jpg
    Bruce Benderson

    Que reste-t-il de nos amours ? L'écrivain new-yorkais Bruce Benderson se souvient de l'ironie subversive qui tournait "en dérision les éléments les plus banals et conventionnels de la vie de tous les jours " dans les années soixante et soixante-dix. C'était au temps séditieux de l'opposition à la guerre contre le Vietnam. S'étreindre était la solution. Insuffisante hélas pour mettre un terme au prurit militaire qui ne cesse de démanger le cerveau reptilien de l'humanité. Pour Bruce Benderson, l'époque était marquée par un "esprit joyeux, sensuel, collectif" qui ne reviendra pas. Il se souvient de quelques icônes de la contre-culture (Peter Berlin, William S. Burroughs, Joe Dallessandro, Robert Crumb, Divine, Patty Hearst, Marshall McLuhan, Viva ...) des temps anciens et célèbre de plus récentes figures (y compris José Bové). Ce concentré est un concentré d'histoire personnelle. Histoire vécue. Et c'est sans doute ce qui rend attachant cette traversée rétrospective. Jonchée de déceptions et de cadavres.

    ae0c3a4b3adecc994d78f4c9b36ffe6b.jpg

    CONCENTRE DE CONTRE-CULTURE

    50 idées, personnes et événements de l'underground qui ont changé ma vie, pour le meilleur ou pour le pire

    Bruce Benderson

    Editions Scali, 2007

    www.scali.net

     

  • CLAUDE TARNAUD

    Cher Guy Darol,
    C’est par hasard que nous avons découvert il y a peu de temps qu’en août et novembre de l’année dernière il y a eu une discussion sur Claude Tarnaud sur votre site.
    Pour tous ceux qui s’intéressent à Claude Tarnaud nous avons créé avec l’aide de Michael Kopp un petit site sur Internet sous l’adresse
    Vous y  trouverez des informations sur la vie et l’œuvre de Claude Tarnaud.
    En plus un deuxième site a été créé :
    pour le groupe Postscriptum qui a publié en 2002 sous la conduite de François Di Dio des dossiers sur Jean-Pierre Duprey, Stanislas Rodanski, Claude Tarnaud et une anthologie sur Claude Pélieu.
    Gibbsy (Henriette de Champrel), Sylvie et Pierrille Tarnaud
    2d3e27c1b99d5e7bd56e5106ea211f6f.jpg
    Claude Tarnaud

     

  • BENNIE WALLACE ❘ COLEMAN HAWKINS

    4f1e6b63fcd7f8523d7dc1b927898175.jpg

    Le saxophoniste ténor Benny Wallace a accompli dans les années 70 une rupture musicologique contraire à l’observance des règles. Après un parcours de chimiste sonore séduit par la fronde coltranienne, il revient aux heures classiques du jazz et se fait l’amplificateur du souffle de Don Byas, John Hodges, Ben Webster et Coleman Hawkins. Enregistré live à Berlin, le 6 novembre 2004 (un millésime qui coïncide avec le centenaire de la naissance de Hawk), Disorder At The Border est l’aboutissement d’un projet vieux de vingt ans. Époque où Benny Wallace valide sans barguigner l’idée qu’il n’y a pas dans l’histoire du jazz de figure plus considérable que celle de John Coltrane, hormis Coleman Hawkins. Lyrique en cascade, cet album fait jaillir l’esprit de The Bean à partir de six compositions. Benny Wallace reprend notamment La Rosita en se souvenant d’un concert de la fin des années 50 où le titre était  interprété par Ben Webster et Hawkins. Body And Soul renvoie à la version source datant de 1939 et Joshua Fit The Battle Of Jericho est un hymne au gospel arrangé et multiplement joué par le compagnon de route de Fletcher Henderson. Quant à Honeysuckle Road, le chef d’œuvre de Fats Waller, hommage est ici rendu à l’arrangement de Benny Carter qui fut pointé présent avec Coleman Hawkins dans les grandes mutations du jazz en mouvement. Album éblouissant par son enthousiasme et sa rigueur, Disorder At The Border est une œuvre de haute dévotion. Guy Darol


    BENNY WALLACE AND HIS ORCHESTRA

    DISORDER AT THE BORDER

    THE MUSIC OF COLEMAN HAWKINS

    ENJA RECORDS

    www.enjarecords.com

     

     

  • JOHN GREAVES ❘ PETER BLEGVAD

    medium_kewrhone.jpg

    AN EVENING WITH GREAVES AND BLEGVAD

    (et première mondiale de KEW.RHONE)
    samedi 9 juin 2007 – 21h

    Le Triton
    11 bis, rue du Coq-Français
    Métro Mairie des Lilas
    01 49 72 83 13

    contact@letriton.com
    http://www.letriton.com

    Leur aventure commune a débuté avec Henry Cow et Faust.
    Depuis trente ans, ils explorent, redéfinissent et repoussent les limites de l'idiome "chanson".
    Ce concert exceptionnel proposera un large tour d'horizon de la collaboration de ces deux figures iconoclastes du paysage musical contemporain, avec comme point d'orgue de larges extraits, pour la plupart jamais joués sur scène, de leur légendaire album de 1977,
    Kew.Rhone,
    chef-d'oeuvre de pop excentrique, entre rock progressif, free-jazz et dadaïsme.


    John Greaves chant, piano, basse
    Peter Blegvad chant, guitare, images
    Jeanne Added chant, violoncelle
    Jef Morin guitare
    David Lewis trompette

  • LE NOUVEL ATTILA ❘ 5 A 7

     

    medium_ATTILA_5_accueil.jpeg

    Le Nouvel Attila plante son soc dans la terre des littératures méconnues. Un numéro qui rend hommage aux noms d'André Baillon, de Germaine Beaumont, de Claude Silve, de Friedrich Karinthy, de Leopoldo Lugones, de Jacques Abeille, de Paul Wens, de L'Arétin, de Théophile de Viau, de Pierre-Corneille Blessebois, de Pierre Louÿs, de Maurice Fourré, de Maurice Pons, de Marcel Mariën, de Guy Cabanel, d'Annie Le Brun, de Michel Bernard ou encore de Topor ne saurait être ignoré.

    LE NOUVEL ATTILA

    127, avenue Parmentier

    75011 Paris

    www.lenouvelattila.net

    CRITIQUE
    André Baillon : les habits neufs de l’auteur
    Foin de Paris, d’après Fierre Fachet
    De Germaine Beaumont et de ses protégées (Irène Monesi & Claude Silve)
    Liste noire des livres épuisés
    Frygies Karinthy / Geda Csath : Hongrois rêver !
    Mike Watson dans le souterrain

    CREATIQUE
    Les mystères de Marseille : “D’une ville, d’une pièce”, de Guillaume Fayard,
    Un inédit de Leopoldo Lugones : « Un fenomeno inexplicable »
    « Maria Sombrano », le secret le mieux gardé de la littérature sud-américaine, par Jérôme Lafargue
    Eric Chevillard, le petit tâcheron rouge

    TRAFIC
    DOSSIER : “Jacques Abeille et ses ombres”.
    (Dans les arcanes / Interview / La société secrète / Les amours chiennes de Léo Barthe / “L’Oncle Léo”, fragment inédit des Voyages du fils)
    Deleatur: livres et ratures
    Le virus insulaire : James Joyce, Yumenu Kyusaku, José Lezama Lima Paul Wenz (1869-1937), par Hubert Haddad

    Supplément triple sexe (16 pages, 16 dessinateurs) :
    L’Arétin, Viau, Pierre-Corneille Blessebois, Charles Collé, Jean-Paul Richter et les textes à queue, Louÿs lecteur, Maurice Fourré, Maurice Pons, Guy Cabanel, Annie le Brun, Anne Marbrun, Michel Bernard (le château de scène), Mariën exégète pornographe, Roland Topor, La Brigandine (ou quand Vaneigem renie ses propres textes)...