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GUY DAROL [rien ne te soit inconnu] - Page 55

  • JOSEPH DELTEIL BRILLE DANS LA PRESSE

    Mon évocation de Joseph Delteil, disponible en librairie depuis le mois de juin, suscite quelques sympathiques remarques dans la Presse. Par exemple :

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    L'OURS - Juillet-Août 2006 - N°360

    Frédéric Cépède

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    OUEST FRANCE - Samedi 1er-dimanche 2 juillet 2006
    Dominique Kerriou

    EST - Editions Samuel Tastet

    BEST - Bibliothèque des Editions Samuel Tastet

    www.esteditura.com

    Diffusion Jean-Michel Place

    www.jmplace.com

     

  • BUS 24 ❘ GUY BILLOUT/ALBERT MARCOEUR

     

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    Celles et ceux qui ont assisté au Café de la Danse, en octobre 2004 et mars 2005, aux concerts d’Albert Marcœur se sont régalés les quinquets. Les 23 tracks mitonnés par les frères Marcœur étaient précédés d’un film 3D adapté du livre de Guy Billout (Harlin Quist Book, 1997), le très buzzatien BUS 24.

    Cette hiérophanie otoptique sur le thème de l’attente est désormais disponible en DVD digipack et mise en vente sur le site Label frères qui fête ses cinq  ans de vie.

    Ce film bref met en images un homme de la vie courante (sosie d’Albert) qui, guettant l’arrivée du bus, assiste à des collisions en rafales d’engins qui ne circulent pas habituellement sur nos voies bitumées. Le quotidien en boucle n’est généralement qu’une succession de rites sans surprise. Le film de Nicolas Renou est une illustration saisissante de l’attente et des phénomènes qu’elle engendre. Merveilleux réfrigérant. On pense à Dino Buzzati, à Julien Gracq qui ont livré sur ce sujet d’inquiétantes méditations.

    La musique est signée Marcœur et ce n’est pas rien.

    Je fais partie de l’audience assidue et glane depuis 1974 chacun de ses mirifiques artefacts. Vous trouverez ici l’entretien que j’ai réalisé avec cet étonnant compositeur que l’on a si souvent tendance à résumer en double européen de Frank Zappa.

    Les amateurs se réjouiront et sans doute seront-ils même jouasses de savoir que le Grand Albert prépare bien soigneusement la bande-son du premier film de Jean-Pierre Darroussin, une lecture cinématographique d’un roman d’Emmanuel Bove, Le Pressentiment (Éditions Le Castor Astral, 1991… tiens, mais c’est mon éditeur !).

    BUS 24 de Guy Billout, film de 6’24

    Réalisation 3D : Nicolas Renou assisté de Live Tha Kine et Patrick Guillerm

    Musique : Albert Marcœur

    Direction artistique : Patrick Couratin et Marc Bellan

    Production et réalisation : Label Frères

    Conception graphique : Crapule !

    Documentation, informations, vente en ligne : www.marcoeur.com/

    Correspondance : Label Frères/BP1/F-21501 Montbard Cedex

    email : labelfreres@marcoeur.com

    A propos de Guy Billout

    Lire : Il y a encore quelque chose qui cloche. Editions Seuil Jeunesse/Crapule, 2002.

    Visiter : www.guybillout.com

    Attention belles gens, depuis le 15 juillet, le site www.marcoeur.com attend votre venue pour une dégustation gratuite.

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    LETTRE N° 21

    Aujourd'hui 15 juillet 2006, marcoeur.com a cinq ans. Et Label Frères également.
    A dire vrai, c'est le label qui a cinq ans. Les frères, eux, ils ont beaucoup plus.
    Mais on ne va pas épiloguer la-dessus pendant des lustres. Tout ce qu'on peut dire, c'est qu'ils commencent A en comptabiliser un paquet de lustres, du moins assez pour éclairer les deux lanternes vacillantes A l'entrée du boulevard des Rêves.
    Rêves avec un R canaille majuscule.
    Et puis, on va allumer les bougies.
    On va les allumer, mais on ne va pas les souffler ! Qu'elles, au moins, on les laisse s'exprimer !
    Après avoir mangé le gâteau, on va défaire les cadeaux. On commence par le gros ou par les petits ? Tout le monde a gueulé : « On garde le gros pour la fin ! »

    On commence donc par les petits qui sont trois nouvelles boucles que l'on peut  télécharger en toute quiétude (MP3) et assez rapidement, elles ne sont pas lourdes.
    Reynald Grzelczyk, le concepteur du site a eu l'idée de les utiliser comme sonneries de téléphone mobile comme ça, pour voir. Pour entendre en fait ! Il a fait son choix  et en a attribué une A chaque correspondant. C'est très bizarre, on a l'impression que ces boucles ont été composées exprès. Faites l'essai, même avec des anciennes (dans la même rubrique "Inédits"), c'est assez surprenant et ça ne coûte pas cher.
    http://www.marcoeur.com/inedits/index.html

    A minuit, on s'embrassera sans attendre la nouvelle année et on déballera le gros cadeau : la musique du générique du film "Le Pressentiment" de Jean-Pierre Darroussin A télécharger dans la joie, en toute liberté, et dans la plus parfaite légalité  (MP3 / 5'12'')
    Nous remercions chaleureusement au passage Jean-Pierre Darroussin qui nous a permis d'utiliser cette pièce avant la sortie du film en salles (le 04 octobre 2006).
    http://www.marcoeur.com/inedits/c2.htm

    Désormais tous les titres de tous les albums possèdent un extrait (Discographie).

    Rappel des dernières parutions de Label Frères :
    - BUS 24 (A1/2006 - DVD - Digipak) 
    - " L' " (M9/2005 - Digipak - livret 16 pages)

    Avec notre gratitude et nos remerciements enflammés.

    Label Frères / Albert Marcoeur

     

     

  • ANTONIN ARTAUD

     

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    Bien que l'examen clinique de l'oeuvre d'Antonin Artaud m'ait toujours bubonné (exception faite d'Antonin Artaud, le medium_Numeriser0004.jpgthéâtre et le retour aux sources, une étude de Monique Borie qui serre le texte sans préjugés), les deux films de Gérard Mordillat et Jérôme Prieur diffusés en 1993 constituent, selon moi, le sommet phosphorescent de ce que peut-être l'image-mouvement face à la trajectoire Artaud.

    En compagnie d'Antonin Artaud, térébrante fiction avec Sami Frey, Marc Barbé, Julie Jézéquel, Valérie Jeannet, Clotilde de Bayser et Charlotte Valandrey, s'inspire assez exactement du Journal du poète  Jacques Prevel (1915-1951). Le film retrace les minutes de la vie du Mômo à Ivry-sur-Seine, alors qu'il est surtout visité par Prevel et Colette Thomas. L'interprétation de Sami Frey est saisissante car c'est ainsi que l'on s'imagine Artaud crachant le verbe en percussion, cherchant le cri juste, la note dénuée de frisottis.

    La véritable histoire d'Artaud le Mômo est un documentaire de 170 minutes recueillant la parole des témoins. Et beaucoup ne sont plus. Ce sont Anie Besnard, Marthe Robert, Henri Thomas, Paule Thévenin, Gustav Bolin, Jacqueline Adamov, Denise Colomb, Jany de Ruy, Gervais Marchal, André Berne-Joffroy, Alain Gheerbrant, Domnine Milliex, Alfred Kern, Pierre Courtens, Henri Pichette, Rolande Prevel, Minouche Pastier, Lucianne Abiet, Marcel Piffret.

    medium_Numeriser0003.jpg Arte Vidéo rend depuis peu disponible ces deux ouvrages cinématographiques en coffret DVD, augmenté d'un bonus : Jacques Prevel, de colère et de haine, documentaire de Gérard Mordillat et de Jérôme Prieur. Il s'agit d'un portrait poignant en 21 minutes du poète (qui attendait beaucoup d'Artaud) à partir des évocations de ses proches.

    A ce pimpant coffret s'ajoute un livret de 20 pages comprenant un entretien avec les réalisateurs et les portraits des intervenants.

     

     

     

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    Coffret de 2 DVD 9 bilingues franco-anglais

    NTSC - Toutes zones/Durée totale : 280MN/Format écran: 4/3

    Son : Dolby Digital Stéréo/Audio : version française/Sous-titres : anglais

    ARTE VIDEO

    www.arteboutique.com

     

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  • LESTER BANGS ❘ ROCK CRITIC

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    Lester Bangs (1948-1982) est l'inventeur d'un genre littéraire, tuilage d'expression rock et de critique différentielle gonzo. Kurt Cobain en avait fait son grand transparent. Lou Reed et Patti Smith le considéraient comme un seigneur des mots.  Les éditions Tristram annoncent  une biographie de Jim DeRogatis à paraître le 29 septembre 2006.

    Lester Bangs, Mégatonnique Rock Critic sortira en même temps qu'un long-box 3-CD édité par Sony-BMG et qui constitue la bande son des livres de Bangs en 60 titres.

    Parallèlement, les éditions Tristram rééditent Psychotic Reactions & autres carburateurs flingués.

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    Editions Tristram
    32002 Auch
    05 62 05 17 76
  • MUZIQ 7 ❘ LE SOMMAIRE

    MUZIQ 7 est en kiosque depuis le 10 juin

    3.50 €

    En voici le sommaire :

    PAROLES D'ACTU

    Ayo par Ersin Leibowitch

    Roy Hardgrove par Ersin Leibowitch

    Marcus Miller par Yvinek

    Gonzales par Guy Darol

    Claude Nobs par Frédéric Goaty

    Ron Sexsmith par Baptiste Piégay

    Bobby Previte par Pierre-Jean Chiarelli

    BLINDTEST

    Lonnie Liston Smith blindtesté par David Commeillas

    Alain Chamfort blindtesté par Frédéric Goaty

    DOSSIER MADE IN ENGLAND

    IN THE SEVENTIES

    The Who - Pink Floyd - Deep Purple - Family - Soft Machine - Free - Van Der Graaf Generator et 60 CD (British Style) traités par Noadya Arnoux, Michel Benita, Peter Cato, Guy Darol, Christophe Delbrouck, Julien Ferté, Christophe Geudin, Frédéric Goaty, Ersin Leibowitch, Sylvain Siclier.

    TOM MOULTON IN THE GROOVE par Pierre-Jean Chiarelli

    RAYON DISQUES

    Brian Eno & David Byrne - Rocé - Ian Gillan - Ammoncontact - Ghostface Killah - Tom Moulton - Boogie Balagan - Benoît Courti - AFX/Aphex Twin - Till Brönner - Dat Politics - Neal Casal - The Dresden Dolls - Pura Fé - Family - TV On The Radio - Feathers - John Zorn - Steve Lukather - The Fiery Furnaces - Tom Verlaine - Herbert - The Derek Trucks Band - The Flying Lizards - Kad - Garland Jeffreys - Mocky - Van Morrison - Peeping Tom - Paul Simon - Silent Poets - DJ Spooky & Dave Lombardo - Martin Luther - Boots Riley & The Coup - Scritti Politi - The Wedding Present - Grand Corps Malade ...

    RAYON DVD

    Cream - Brian Eno - Emerson, Lake & Palmer, Rory Gallagher, Crossing The Bridge, ainbow, Deep Purple...

    RAYON LIVRES

    My Name Is Prince - 40 ans de Rock à Brest - Memphis : Aux racines du rock et de la soul - Ben Harper - Histoires de musiciens ...

    NOCES DE PLATINE par Yvinek

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    Rédacteur en chef Frédéric Goaty fredogaty@wanadoo.fr

     

  • DENIS COLIN TRIO

    SONGS FOR SWANS

    HOPE STREET/NOCTURNE

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    Le clarinettiste Denis Colin sonne comme nul autre et ses idées sont sans pareil. Il nous avait positivement décontenancé avec l’album « Something In Common », nous sommes, cette fois, éberlués. Entouré de Didier Petit au violoncelle, de Pablo Cueco au zarb, Denis Colin place en exergue la voix de Gwen Matthews que Lamont Dozier chercha à fructifier à l’instar de celle de Donna Summer pour qui il confectionna une garde-robe tubesque bien connue. Il ne tira aucun succès de la chanteuse de Minneapolis. Le répertoire de « Songs For Swan » est totalement original. Audace jouissive. Denis Colin n’a rien exigé de moins de notre soulwoman que de lui faire chanter Can, Jimi Hendrix, Neil Young, Curtis Mayfield, Albert Ayler, Nina Simone et l’Art Ensemble Of Chicago. Du jamais entendu. Et le résultat, croyez-moi, est à tomber. Durant la chute vous noterez que tous les petits poils se dressent. Très grand album. Guy Darol

    www.nocturne.fr

  • GERARD SENDREY


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    Au moment où le Musée de la Poste, célèbre l’universel Gaston Chaissac, il est de toute première urgence de connaître Gérard Sendrey, artiste outsider (et c’est ici le plus haut compliment que je puisse envoyer), poète buissonnier et, depuis peu, romancier unique.


    Je serais presque tenté d’écrire romancier hunique (selon l’expression de Jean-Pierre Faye) au sujet d’un livre absolument exceptionnel qui prouve, par son caractère neuf, que la littérature n’est pas en voie de décomposition.


    La Machine est un roman comme il s’en écrit depuis Raymond Roussel. Son écriture en est savante (non savantasse !) et savoureuse. Gérard Sendrey n’aurait envisagé d’écrire pour faire comme. Ou pareil. Ou déjà. Il lui fallait une supplémentaire excitation. Un supplément de joie. Toute destinée au lecteur, évidemment.


    Mais de quoi s’agit-il ?


    La Machine est un lipogramme où les verbes être et avoir sont systématiquement écartés. On se souvient que Georges Perec initia dans La Disparition cette stratégie d’écriture. Mais l’on devine que la suppression de ces deux verbes (avec ce qu’ils comportent de physique, métaphysique, ontologique et économique) va plus loin que le jeu de cache-cache. Ces deux mots pèsent lourd dans la trajectoire de nos vies sursitaires. Ainsi, si Gérard Sendrey fait la chasse à ces deux vocables, c’est surtout pour nous parler de l’essentiel.


    L’exercice oulipien n’est pas la fin qui justifie son premier roman. Gérard Sendrey est né en 1928. Ce n’est pas un âge pour faire le con. Du moins pas totalement.


    Ce roman parle de l’intérieur de soi pour atteindre le lecteur. Touchant. Touché !


    Et je vois en cette machine une machination artiste, un moyen-magie pour faire reculer la mort en restaurant, une fois pour toute, le pouvoir de l’enfance.


    Assez d’enfantillages (mot d’ordre sociétal), soyez sérieux, mondialisez vos énergies, rendez vous utiles aux vainqueurs… autant d’impératifs catégoriques lancés par les puissants couillons. La Machine de Gérard Sendrey est un instrument de guerre, une arme sans linéaments, invisible/lisible qui pulvérise les illusions que ciblait Guy Debord. Avez-vous observé, au passage, la haine organisée contre ce nom depuis qu’il est notoire et vaste ? On aimait Debord du temps de sa clandestinité forcée. On le déteste à présent qu’il est sorti au jour (par les fossoyeurs !).


    Gérard Sendrey appartient au monde de la Création Franche, celui des formes d’art parallèle aux officiels standards. Ses œuvres plasticiennes foisonnent all over the world et particulièrement dans la Neuve Collection de l’Art Brut à Lausanne. C’est un fabuleux, un créateur de vie. Et un écrivain qui transforme toute tourbe en or pour les oreilles et pour les yeux.


    Car La Machine se lit comme un roman (à haute voix, c’est mieux !) au-delà du divertissement. Nous n’en livrerons pas l’intrigue. Sachez qu’elle est ancrée au port des songes de haut verbe où baignent Robert Louis Stevenson (pour qui le fond est dans la forme) et Louis Calaferte.


    Gérard Sendrey (du grec aisthétés : qui sent, qui perçoit par les sens) promet une suite à ce grand livre. L’Analyse paraîtra prochainement. Guy Darol


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    LA MACHINE

    Gérard Sendrey

    Editions Michel Champendal

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    Gérard Sendrey
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  • KALY LIVE DUB MEETS ERIK TRUFFAZ

     

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    Salut Guy,

    Comme je t'en avais parlé, Truffaz se produisait vendredi dernier (19 mai2006) à l'Appel d'Air à Trébry.

    Enthousiaste du dernier concert et du dernier opus du dit Erik, j'ai fait dela retape autour de moi et amène 4 potes.

    Quelle honte ... j'aurais mieux fait de m'abstenir. Je te raconte.

    Le concert était prévu pour 21h. L'intitulé : Kaly Live Dub meets ErikTruffaz. Autant te dire que les gens qui avaient fait le déplacement n'étaient pas venus voir Kaly trucmuche mais bien le trompettiste poète
    (pouët).

    La première partie débute vers 22h30. Un groupe minable qui nous faisait de la dub de daube (même pas en sauce) sur fond de discours politique de collégien boutonneux. Une vrai soupe (Knorr).

    La seconde partie attaque vers 00h00. On commençait à avoir mal aux jambes. Heureusement que la bière locale, Zo Rah' (la rousse) était fort gouleyante.

    Mon avis d'initié (je ne parle que d'un point de vue technico-musical) est le suivant : un guitariste arythmique (c'est une vraie maladie dont on se soigne très difficilement), un organiste fâché avec les mesures ternaires, un bassiste d'une onctuosité déprimante et je passe sur le DJ (lui aussi
    vacciné au discours politico-vomitifs déplacés) et le batteur (qui plantait des clous).

    Truffaz est arrivé vers 00h20, et ce pour 3 morceaux. Heureusement qu'il était là. Ce fut un instant de bonheur. Il fallait faire abstraction du bruit ambiant.

    Il a joué 3 morceaux et s'en est allé. Nous aussi d'ailleurs. Il était 01h30 et nous étions nazes et dégoûtés. Il fallait de plus rentrer sur Morlaix, 1h15 de route, un de mes amis travaillait tôt le lendemain. Autant te dire que nous n'allions pas attendre que Truffaz revienne pour le bis.

    Bref, j'ai envoyé un message à Télérama, qui organisait ce Télérama Dub Festival pour leur dire ce que tu viens de lire. J'attends leur réponse (toujours rien après un mois).

    Heureusement .... j'aime toujours Truffaz ... mais qu'il ne me refasse pas ça une autre fois ... sinon ça va mal se passer !

    Yves H.

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    Ce suffocant voyage à L'Appel d'Air (Trebry - 22) sera facilement oublié grâce à Our Theory, nouvel album qui réunit Truffaz, Ersahin, Madsen, Rueckert et Penman. Vous pouvez,  sans traitement anti-émétique préalable, réserver le billet. Niveau Wagon Lit International.

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    NUBLU RECORDS DISCOGRAPH


  • ZAPPA PLAYS ZAPPA ❘ LE WEBMESTRE DE ZAPPA.COM COMMENTE LE CONCERT DU ZENITH

    This morning we had a fly day with the Paris show in the evening. The airport was completely packed with people. It was a sight to be seen, and seemed like an awful lot of crap to go through for such a short flight. From the airport we headed directly to our hotel to drop off our bags, and then to the Zenith for soundcheck.

    The show tonight was LONG. Dweezil added a few songs, and Terry was playing with the band again, so his sat was added to the selection that the band had been playing in his absence. I think the show began at 8:30, and the band came off stage at midnight.

    The crowd was huge and the electricity in the air was something else. Their appreciation of the show was fervent and loud, and there were standing ovations a plenty.

    Terry broke his kickdrum head during his set and so performed "Punky's Whips" on Joe's kit. With the kick repaired, Terry performed the Black Page #1 on his own kit again before Steve took the stage to join the band for #2. Speaking of "Punky's", I have to say that it's my favorite moment of Terry's set. When he gushes those words "oh Punky!" into the mic, it cracks me up every time.

    I'm out of superlatives for the Paris show. It was the best show of the tour thus far. It's going to be hard to beat the passion, love and wild appreciation the band felt from the fine Parisians who came to the Zenith last night. Another highlight for me personally was riding back to our hotel in the van with Terry who told me the story of his audition for Frank. It's stuff like this that legends are made of.

    Appréciation nettement positive. Il semble bien qu'In France, l'audience est plus concentrée que le jus d'abricot, un paradigme d'écoute fine. Et Dweezil a apprécié. C'est dire que l'on peut espérer le revoir avant que les poules attrapent des dents.

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  • ZAPPA PLAYS ZAPPA/ZENITH/PLAYLIST

    Musiciens : Dweezil Zappa: guitare, chant / Joe Travers: batterie / Pete Griffin: guitare basse / Aaron Arntz: claviers, chant / Scheila Gonzales: cuivres, claviers & chant / Billy Hulting: percussions  / Jamie Kime: guitare rythmique.

    Invités : Terry Bozzio (batterie
    , chant) / Napoleon Murphy Brock (chant) / Steve Vai (guitare)..

    Durée : ± 180mn

    Imaginary Diseases
    Hungry Freaks Daddy
    Let's Make The Water Turn Black
    Florentine Pogen
    Pygmy Twylyte
    The Idiot Bastard Son
    Cheepnis
    King Kong Variations
    Don't Eat The Yellow Snow
    St.Alfonso's Pancake Breakfast 
    Father O'Blivion
    Inca Roads
    Eat That Question

    I'm So Cute
    Trying To Grow A Chin
    City Of Tiny Lights
    Punky's Whips
    Black Page #1
    Black Page #2
    Peaches En Regalia
    Montana
    Village Of The Sun
    Echidna's Arf
    Zombie Woof
    Chunga' Revenge (w/ vidéo )

    Camarillo Brillo
    More Trouble Every Day
    A Token Of His Extreme
    Sofa

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    Cette playlist peut être commentée.

    A vos claviers boys and girls !

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