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Culture - Page 12

  • FRANK ZAPPA ❘ PEER TO PEER

     

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    Le site Actualitté m'a demandé de rédiger un billet sur les propositions d'une alternative au marché phonographique ainsi que Frank Zappa l'avait envisagé dans The Real Frank Zappa Book.

    Il va de soi que ce billet s'inscrit dans un contexte particulièrement actuel, soit entre deux fronts. Celui que représente les partisans de la loi Création et Internet face (par exemple) aux signataires de la "Lettre ouverte aux spectateurs citoyens".

    CONSULTER LE BILLET

  • STANISLAS RODANSKI ❘ HORIZON PERDU

     

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    Jeudi 9 avril 2009 à 20 h, hommage à Stanislas Rodanki à la mairie du 10è arrondissement de Paris.

    Projection de HORIZON PERDU, réalisé par Jean-Paul Lebesson d’après un bris-collage de Bernard Cadoux et Jean-Paul Lebesson sur une fabulation de STANISLAS RODANSKI.

    "Légende magnétique, mémoire par défaut d’une fabulation panique. Un espace, vide que la perte d’horizon plonge dans une réfraction infinie. Un personnage hante ce décor gigogne et cherche à dire ses guerres intestines. La vallée disparue de Shangri-là, les camps de la mort lente : double face de cette folie qui l’emporte. Ravissement et Terreur. Mais la fiction ne prend pas et la représentation impossible de son drame intérieur le livre à la répétition sans fin. La tragédie n’a pas eu lieu, faute de lieu. Horizon Perdu, ou la scène introuvable."

    Le film sera suivi d’une rencontre animée par les auteurs avec la participation de Sarane Alexandrian, Christophe Dauphin, Marc Kober et Anastassia Politi (Cie Erinna)

     

    Mairie du 10e

    72, rue du Fauboug Saint-Martin

    Salle des fêtes

    2e étage

    Entrée libre

     

     

  • ARMAND ROBIN ET LES FAMOUS FIVE

    Nous étions cinq comme les Famous Five d'Enyd Blyton. Cinq sur les vicinales qui mènent à l'enfance d'Armand Robin. Nous ne disposions que de quelques amers confiés à leurs lecteurs par Anne-Marie Lilti dans sa récente biographie et de ces photographies réunies dans un précieux numéro spécial de la revue Skol Vreizh.

    anne-marie lilti robin.gif

    Nous connaissions les noms majeurs : Rostrenen, Plouguernével, Glomel.

    A Rostrenen, nous quémandâmes auprès de l'Office de tourisme et de la Médiathèque quelque chose comme une piste fléchée, un sentier de non-traduction ou de poésie qui indiquerait le trou de l'arbre. Ici, le nom d'Armand Robin ne fait pas sésame.

    Le site dédié à Armand Robin signalait des toponymies inexistantes sur les plans disposés au centre des villages. Nous déduisîmes Kerfloc'h et Le Cosquer.

    A Kerfloc'h, berceau des premières années d'Armand Robin, nous vîmes la ferme percée de la porte à ogives et un arbre imposant parfaitement opaque.

     

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    A Glomel, nous cherchâmes Le Cosquer qui pouvait être l'exploitation un tantinet plus vaste où s'installa la famille Robin après le départ de Kerfloc'h. J'avisai une jeune femme penchée sur un parterre de fleurs. Elle savait le nom d'Armand Robin et aussi qu'il mena "grande vie à Paris, une vie de bohème". Il ignorait, à ce qu'elle me dit, le sens du mot travail. Je lui parlai du hameau de Oasquer (ou Ouasquer), quelquefois orthographié Le Goasquaich. Elle savait. C'était sur l'ancienne route de Rostrenen, une ferme sur la droite, au fond d'un chemin creux.

    Nous y fûmes. La route était sinueuse. On se perdit. Un jardinier que le ciel bleu intimait de tailler ses haies nous remit dans le droit chemin. Le paysage devenait plus rond. La végétation s'en donnait à coeur joie. On s'arrêta devant un panonceau qui murmurait des eurêka : Ar Wazhkae. On descendit vers des sapins, vers des hangars. Nous reconnûmes le chêne frotté par les vents. La façade au rectangle parfait était bien celle des images vues et revues.

     

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    Des bêlements, des agnelets, un berger maniant le biberon en petite mère attentive confirma que nous avions trouvé. L'arbre était tricentenaire. La ferme et ses 60 hectares venait d'être vendue à des Anglais.

    Là que vécu Armand Robin. Là que dans l'arbre fendu, il nichait ses envies matinales de lecture. Là que le Breton de Rostrenen fit ce rêve mappemondial, celui de parler dans toutes les langues du monde. Là qu'il se fit poète, traducteur des nuées, des bourgeonnements, des pluies, des chevaux, ah ! les chevaux.

     

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    Dans ce vallon, dans cet abri où Walden, mon fils, se coule, Armand Robin assembla les mots qui formerait plus tard Le temps qu'il fait.

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    Il faisait soleil. Mon coeur battait. C'était un jour de joie profuse.

    A cinq, on est toujours plus fort. Toutes les portes sont transparentes.

  • L'AFFAIRE ARTAUD ❘ COMMUNIQUE

    Ayant lu notre billet sur Nicolas Rozier, Florence de Mèredieu nous adresse ceci :

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    Florence de Mèredieu
    L'AFFAIRE ARTAUD

    Journal ethnographique

    Editions Fayard

    "L'Affaire Artaud" défraie depuis quelques décennies la rubrique des médias. —

    Blocage de la parution des Œuvres complètes du poète. Procès en cascade. Mise en cause de la transcription des cahiers manuscrits. Virulentes et ostentatoires campagnes de presses, à charge ou à décharge des uns et des autres.
    Miroir de la vie intellectuelle des années 1948-2008, l'Affaire Artaud apparaît comme un feuilleton médiatique, les journaux (Combat, Le Monde, Libération, Le Nouvel Observateur, La Quinzaine littéraire, etc.) ayant assuré une sulfureuse carrière posthume au poète, mort à Ivry en 1948.

    L'Affaire Artaud met en scène un poète maudit (Antonin Artaud), des manuscrits et dessins, une Grande Prêtresse (Paule Thévenin), une maison d'édition réputée (Gallimard), une famille (les Artaud-Malausséna), quantité de medecine men (Gaston Ferdière, Jacques Lacan, etc.), des intellectuels de renom (Jean Paulhan, François Mauriac, André Malraux, Jacques Derrida, Philippe Sollers, etc.), de grandes institutions (la Bibliothèque nationale de France, le Centre Georges-Pompidou, etc.), des avocats devenus de puissants hommes politiques (tel Roland Dumas).

    L'histoire comporte des familles, des clans, des tribus et des gourous, des "medecine men", des reliques, des magiciens, des éditeurs et des illusionnistes, des journalistes et des avocats, des collectionneurs et des intellectuels réputés. Elle s'est déroulée à l'ombre de prestigieuses institutions et jusqu'au cœur de l'État. Largement abreuvé d'informations qu'il ne peut maîtriser, le grand public ignore tout de ce qui s'est tramé, durant soixante ans (1948-2008), autour de l'œuvre de l'un des plus grands écrivains du XXe siècle.

    Largement médiatisée, l'Affaire Artaud demeure, cependant un sujet tabou. Un haut lieu de secrets auxquels bien des protagonistes de l'Affaire n'ont, eux-mêmes, pas eu accès. On s'interrogera sur les arcanes de cette histoire qui s'apparente souvent à un gigantesque marché de dupes.

    Entrée il y a 25 ans au cœur de l'Affaire, Florence de Mèredieu assiste et participe à ses rebondissements. Ce "Journal ethnographique" relate les événements, recense les documents et décrit ce que furent — en arrière-plan — les mœurs et les pratiques de ses différents protagonistes.

    Tout ce que vous auriez voulu savoir sur l'Affaire Artaud. Tout ce que vous n'auriez même pas imaginé.

    L'Affaire Artaud fut aussi — et peut-être surtout — une grande Affaire médiatique. S'attacher à la décrire amène inéluctablement à esquisser une certaine histoire de la presse (Combat, Le Monde, Libération, La Quinzaine littéraire, etc.) et de l'édition (Gallimard). Sans compter la description des relations complexes qu'entretiennent ici le droit et la littérature.

    Univers des réseaux, de la presse et des médias. Mondes cloisonnés de la psychiatrie. Grandes Institutions travaillant à l'ombre de l'État et dans les arcanes du pouvoir (Bibliothèque nationale de France, Centre Georges Pompidou, etc.). Intellectuels soucieux de traiter le poète mort à Ivry en mars 1948, à la façon d'un porte-étendard. Matière première de gloses interminables, le Grand-Œuvre d'Artaud n'a pas cessé d'alimenter l'histoire littéraire et journalistique.

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    Écrivain, essayiste, Florence de Mèredieu a longtemps enseigné l'esthétique et la philosophie de l'art à l'Université de Paris I (Panthéon-Sorbonne). Elle est l'auteur de fictions (Une si petite anthropophage, Des Femmes, 1981, Télévision, la lune, Des Femmes, 1985, Borges & Borges illimited, Paris, Blusson, 1993, Duchamp en forme de ready-made, Paris, Blusson, 2000. Et Beckett se perdit dans les roses, Paris, Blusson, 2007) et de nombreux ouvrages sur l'art moderne et contemporain (André Masson, les dessins automatiques, Paris, Blusson, 1988, Histoire matérielle et immatérielle de l’art moderne, Paris, Bordas, 1994, Larousse, 1999, Nouvelle édition augmentée, Larousse, 2004, "Hôtel des Amériques", essai sur l'art américain, Paris, Blusson, 1996, Kant et Picasso, le "Bordel philosophique", Nîmes, Jacqueline Chambon, 2000. Arts et nouvelles technologies, art vidéo, art numérique, Paris, Larousse, 2003, etc.)
    Elle consacre six ouvrages au poète — Antonin Artaud, Portraits et Gris-gris,(Blusson, 1984 et 2008), Antonin Artaud, Voyages, 1992 ; Antonin Artaud, les couilles de l'Ange, 1992 ; Sur l'électrochoc, le Cas Antonin Artaud, 1996 ; La Chine d'Antonin Artaud/le Japon d'Antonin Artaud, 2006 et une biographie : C'était Antonin Artaud (Fayard, 2006).
    En 1994-1995, Florence de Mèredieu adresse au Monde et à Libération deux Lettres ouvertes jamais publiées sur l'Affaire Artaud.

    Elle a collaboré à de nombreuses revues et ouvrages collectifs (Parachute, Art Press, Communications, Les Cahiers du Centre Georges-Pompidou, La revue d'Esthétique, Vertigo, etc.). Entre 1978 et 1991, elle écrit régulièrement dans La Nouvelle Revue Française (revue de Gallimard).

  • NICOLAS ROZIER ❘ L'ECROULOIR

     

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    Nicolas Rozier, poète (L'espèce amicale, Fata Morgana, 2006) et peintre (en tant qu'illustrateur notamment, il a accompagné des ouvrages dédiés à Guillevic et Charles Dobzynski), est l'auteur de L'Ecrouloir, une réflexion en forme de prosepoème sur l'un des derniers dessins d'Antonin Artaud.

    Il rend compte dans l'éclat d'un verbe élucidant de ce trait d'Artaud qu'était Artaud. Sa pratique (et connaissance) du trait jette un faisceau de grandes et belles lueurs.

    Artaud et le dessin : voici plus de clartés.

    Artaud et le regard : nous y voyons mieux.

    L'ECROULOIR

    NICOLAS ROZIER

    Editions de Corlevour

    45 pages, 10 €

    SITE DES EDITIONS CORLEVOUR

     

  • STANISLAS RODANSKI ❘ REQUIEM FOR ME



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    Tant attendu et pointilleusement présenté par François-René Simon, voici Requiem for me, nouveaux écrits de Stanislas Rodanski suivis de deux lettres adressées à Jacques Veuillet, l'ami de jeunesse.

    "Les intimes (m')appellent Stan, les familiers Bernard, les indifférents Rodanski et les flics Glücksmann", ainsi se découvre l'écrivain qu'il convient de rapprocher d'Antonin Artaud, de Jacques Vaché pour le mystère d'être. Ainsi se déploie les étiquettes du nom qui font ce héros de roman que fut Rodanski, absolument. Lumineusement, François-René Simon questionne le multiple je : "Je est un autre jeu, un jeu social, un jeu de dupes."

    Beaucoup d'éléments apportés à la connaissance de l'oeuvre, à la connaissance de l'homme. Ce livre ne vient pas s'ajouter aux autres pour faire du volume. Il rend Rodanski plus précis. Il donne à ceux qui lisent intensément le "romancier détective" matière à des éblouissements.

    REQUIEM FOR ME

    Stanislas Rodanski

    Editions des Cendres

    141 pages, 18 €

    _____________

    Editions des Cendres

    8 rue des Cendriers 75020 Paris

    Tel 01 43 49 31 80

  • JEAN-PIERRE LENTIN C'EST FINI !

     

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    Les lecteurs d'Actuel s'en souviennent. Jean-Pierre Lentin en était l'une des plumes les plus acérées. Son nom était aussi associé à Dagon, à Fille Qui Mousse. Egalement à Radio Nova. Il était l'une des figures de la French Underground. Il fut l'un des premiers à célébrer Albert Marcoeur.

    En octobre dernier, nous étions réunis par Frédéric Goaty au Café de la Danse. C'était la fête à Marcoeur et frères, l'un des plus beaux concerts de celui qui possède plus d'un tour dans son sac.

    En nous rendant à la soirée qui suivait le concert, nous discutâmes littérature : Maurice Fourré, Jean-Pierre Duprey, Stanislas Rodanski. Il n'était ignorant de rien. Nous nous découvrîmes une passion commune pour Huysmans.

    L'auteur d'A Rebours était son maître d'écriture. Les Ecrits sur l'Art de Huysmans avaient été sa méthode pour traduire les sons, la couleur des sons, dans ses articles sur la musique.

    Plus tard, il me parla de Marcel Proust et de ses imprécisions syntaxiques.

    La petite soirée qui se déroulait dans le vingtième arrondissement de Paris fut l'occasion pour le musicologue (incollable sur les musiques de la Renaissance) de converser avec Albert Marcoeur comme dans un voyage à rebours, un voyage qui nous emmena en 1974 au Théâtre des Arts où j'assistais au premier concert d'Albert Le Grand. Jean-Pierre était là. Jean-Pierre Lentin n'est plus. Il n'avait pas 60 ans.

  • POUR ANDRE HARDELLET

     

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    Il fut long à réaliser. Il est l'oeuvre de Pascal Sigoda et d'Olivier Houbert. Cet hommage à André Hardellet est désormais en vente Au Signe de la Licorne, 36 avenue Carnot 63000 Clermont-Ferrand.


    En voici le sommaire :


    I - La promenade imaginaire


    Patrick Cloux : Les effets secondaires

    Hervé Carn : La grammaire des émotions

    Georges-Olivier Châteaureynaud : Le seuil du jardin

    André Vers : Le temps du Vecchio

    John Taylor : Neuf petites proses

    Louis Nucera : L'enchanteur

    Guy Darol : Tête en l'air

    II - Lectures


    Alexis Constant : Marge et périphérie

    Olivier Houbert : Le grand stupéfiant

    Eleonore Real : L'Ecriture du secret

    Michel Lamart : Le fantastique d'André Hardellet : un réalisme poétique ?

    Françoise Demougin : Enfances de l'écriture

    John Taylor : Traces des jours disparus

    Philippe Claudel : vers l'Ile au trésor

    Joël Vernet : En marchant entre les pages d'Hardellet

    Guy Dupré : Le rêveur éveillé


    III – Dossier


    Françoise Demougin : Florilège critique -

    Françoise Demougin : Bibliographie

    Olivier Houbert : Notice biographique

    Notices biographiques des auteurs

    Renseignements :
    Au Signe de la Licorne
    36 avenue Carnot 63000 Clermont-Ferrand 
    Téléphone : 04 73 90 15 46 

    Courriel : ausignedelalicorne@yahoo.fr
    Site internet : www.ausignedelalicorne.com

    Tirage : 300 exemplaires (ne sera pas réimprimé)

  • FRANK ZAPPA/LUMPY MONEY ❘ TRACKLIST

     

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    LUMPY MONEY - Disc One


    Lumpy Gravy (Primordial) C & P 2008 ZFT
    FZ's Original Orchestral Edit for Capitol Records.
    Original tracking sessions at Capitol Studios, Produced by Nick Venet
    Mono Version, 4-Track Master Tape Sequence
    Source: ¼" Analog – Master Tape T-2719 dated 19 May 1967.

    01. I Sink Trap 2:45
    02. II Gum Joy 3:44
    03. III Up & Down 1:52
    04. IV Local Butcher 2:36
    05. V Gypsy Airs 1:41
    06. VI Hunchy Punchy 2:06
    07. VII Foamy Soaky 2:34
    08. VIII Let's Eat Out 1:49
    09. IX Teen-Age Grand Finale 3:30
    tt: 22:37

    We're Only In It For The Money C & P 1968 ZFT
    1968 Original Mono Mix, Produced by Frank Zappa.
    This is NOT a fold-down mix from stereo to Mono.
    This is a separatediscreet mono mixcreated by FZ with Dick Kunc in 1968.
    Source: ¼" Analog Master

    10. Are You Hung Up? 1:26
    11. Who Needs The Peace Corps? 2:32
    12. Concentration Moon 2:22
    13. Mom & Dad 2:16
    14. Telephone Conversation :49
    15. Bow Tie Daddy :33
    16. Harry, You're A Beast 1:21
    17. What's The Ugliest Part Of Your Body? 1:02
    18. Absolutely Free 3:26
    19. Flower Punk 3:03
    20. Hot Poop :26
    21. Nasal Retentive Calliope Music 2:03
    22. Let's Make The Water Turn Black 1:58
    23. The Idiot Bastard Son 3:22
    24. Lonely Little Girl 1:10
    25. Take Your Clothes Off When You Dance 1:34
    26. What's The Ugliest Part Of Your Body? (Reprise) :58
    27. Mother People 2:31
    28. The Chrome Plated Megaphone Of Destiny 6:23
    tt: 39:15
    This Disc: Mastering & Audio Restoration engineer - John Polito,2008.TT: 61:52

    LUMPY MONEY - Disc Two

    Lumpy Gravy C 1968 P 2008 ZFT
    1984 UMRK Remix
    Although this version was never released, FZ did include a track entitled Lumpy Gravy (Excerpt) in a promotional disc for The Old Masters, Box One.
    All 3:01 of it is here. This promo disc was serviced to radio station program directors.
    Lucky them.
    Source: 1630 Digital Master

    01. Lumpy Gravy - Part One 15:57
    02. Lumpy Gravy - Part Two 17:15
    tt: 34:12

    We're Only In It For The Money C 1968 P 1986 ZFT
    1984 UMRK Remix, originally released on CD, 1986
    Source: 3324 Digital Master

    03. Are You Hung Up? 1:30
    04. Who Needs The Peace Corps? 2:35
    05. Concentration Moon 2:17
    06. Mom & Dad 2:16
    07. Telephone Conversation :49
    08. Bow Tie Daddy :33
    09. Harry, You're A Beast 1:22
    10. What's The Ugliest Part Of Your Body? 1:03
    11. Absolutely Free 3:28
    12. Flower Punk 3:04
    13. Hot Poop :29
    14. Nasal Retentive Calliope Music 2:03
    15. Let's Make The Water Turn Black 1:45
    16. The Idiot Bastard Son 3:17
    17. Lonely Little Girl 1:12
    18. Take Your Clothes Off When You Dance 1:35
    19. What's The Ugliest Part Of Your Body? (Reprise) :57
    20. Mother People 2:31
    21. The Chrome Plated Megaphone Of Destiny 6:26
    tt 40:12
    Produced by Frank Zappa
    This Disc: Mastered by Bernie Grundman, 2008.
    TT: 74:24

    LUMPY MONEY - Disc Three

    All FZ recordings were transferred from original 2-Track analog tapes except tracks 4 through 6 & 13. All titles C & P 2008 except as noted.

    01. How Did That Get In Here? 25:01
    Recorded on Sunday, 13 February 1967 at Capitol (Original multi-trackmasters arecurrently not in evidence.) This is an FZ construction. Small excerptsfrom this materialappear in FZ's Masterwork, Lumpy Gravy. Source: ¼" stereo mixdown.
    02. Lumpy Gravy "Shuffle" :30
    Recorded 21 February 1969 at The New School, NYC, during FZLecture/Q&A.
    03. Dense Slight 1:42
    Lumpy Gravy Building Block by FZ.
    04. Unit 3A, Take 3 2:24
    05. Unit 2, Take 9 1:10
    06. Section 8, Take 22 2:39
    Tracks 4-6 recorded for Lumpy Gravy 14 March 1967 at Capitol.
    Mixedfrom the original4-Tracks by Joe Travers, UMRK, 2008.
    07. "My Favorite Album" :59
    Interview excerpt, 22 October 1971, KBEY- FM, Kansas City.
    08. Unit 9 :41
    In Lumpy Gravy, this piece is VSO-controlled by FZ.
    Recorded atCapitol Records.
    09. N. Double A, AA :55
    Lumpy Gravy Building Block by FZ.
    10. Theme From Lumpy Gravy [© 1991] 1:56
    Note: In Lumpy Gravy this piece is VSO-controlled by FZ. Recorded &mixed by FZat Studio Z, Cucamonga.
    11. "What The Fuck's Wrong With Her?" 1:07
    West Village Apt. NYC, working on Lumpy Gravy, late 1967.
    12. Intelligent Design 1:11
    Alternate FZ building block of theGary-Kellgren-whispering/JCB-dialog. Note: Includes the famously censored line infamously deleted by MGM from theMasterwork. Recorded at Mayfair.
    13. Lonely Little Girl (Original Composition - Take 24) 3:35
    From the original 8-Track Masters recorded at Mayfair. Mixed by JoeTravers at UMRK 2008.
    14. "That Problem With Absolutely Free" :30
    Interview, Mixed Media, Detroit, 13 November 1967.
    15. Absolutely Free (Instrumental) 3:59
    16. Harry, You're A Beast (Instrumental) 1:16
    17. What's The Ugliest Part of Your Body? (Reprise/Instrumental) 2:01
    18. Creationism 1:11
    Recorded during the "Money" sessions, Mayfair, 6 September 1967.
    19. Idiot Bastard Snoop :47
    Mayfair Studios 1967, Vocal Overdub session snippet as-is.
    20. The Idiot Bastard Son (Instrumental) 2:48
    21. "What's Happening Of The Universe" 1:37
    Interview with David Silver, Boston, 1969.
    22. "The World Will Be A Far Happier Place" :21
    Recorded at Mayfair.
    23. Lonely Little Girl (Instrumental) 1:26
    24. Mom & Dad (Instrumental) 2:16
    25. Who Needs The Peace Corps? (Instrumental) 2:51
    26. "Really Little Voice" 2:28
    Recorded during the Money sessions, Mayfair Studios 1967.
    27. Take Your Clothes Off When You Dance (Instrumental) 1:24
    28. Lonely Little Girl - The Single [C P 1967] 2:45
    Released prior to the album in November, 1967. Curiously, FZ considered this thoroughly discrete construct (yes, that's right, this is a collage) potentiallycommercial.
    29. "In Conclusion" :25
    Recorded at Mayfair.TT: 71:54

    COMMANDE SUR www.zappa.com

  • ANTHOLOGIE BIZARRE

     

    Anthologie Bizarre.jpg

    Bizarre, anthologie 1953-1968
    Etablie et commentée par Jean-Marie Lhôte

    Ce livre imprimé en quadrichromie et relié, reprend en fac similé (format 21x30 cm) une sélection des meilleures pages de tous les numéros de la revue Bizarre précédés d’une courte notice qui les replace dans le contexte de l’époque. La revue Bizarre, revue littéraire et artistique fortement influencée par le surréalisme, fut créée en 1953 par Éric Losfeld et reprise en 1955 par Jean-Jacques Pauvert. Donnons la parole à ce dernier : « […] Bizarre était vraiment la revue de l’époque. Les numéros spéciaux, particulièrement, attiraient l’attention. Nous avions fait Les Fous littéraires, La Joconde, les Dessins inavouables, Les Mystères de Rembrandt, Les Monstres. Les dessinateurs que nous révélions depuis Siné renouvelaient le genre. […]. Début 1960 déjà, nous avions publié coup sur coup deux numéros Dessins inavouables, et Supplément aux dessins inavouables. Fort bien présentés par Michel Laclos, ils rassemblaient les dessins refusés par la presse française, encore bien conventionnelle. Folon, Chaval, Gébé, Topor, Cardon, Le Foll, Siné bien sûr, Maurice Henry, Trez, Mose, André François (je ne peux pas les citer tous), y installaient le dessin d’humour moderne. C’était le début d’une époque...
    Le lecteur passe du numéro monumental consacré aux Fous littéraires, présenté par Raymond Queneau, aux variations ludiques sur La Joconde, aux Monstres, à Tarzan, à Shakespeare… il découvre une pléiade de dessinateurs, aux premiers rangs desquels Siné, Chaval, Wolinski, Ylipe.
    La nouvelle génération de dessinateurs se met à graviter autour de Bizarre et porte au cœur, sous diverses formes, l’explosion du printemps 1968. Siné est le chef de file, il apparaît dès 1955, avec des dessins anticléricaux qui sont dans les sommets du genre, cruels et drôles.»
    Jean-Marie Lhôte, ancien directeur de la Maison de la culture d’Amiens, historien des jeux qui a publié plusieurs ouvrages sur ce sujet, participa à la grande aventure que fut la revue Bizarre. C’est à ce titre et avec l’assentiment de Jean-Jaques Pauvert qu’il a établi cette            « anthologie » commentée.

    Berg International
    129 boulevard Saint-Michel
    75005 Paris
    berg.international@wanadoo.fr

    LE SITE DE BERG INTERNATIONAL

    EN LIBRAIRIE LE 18 FEVRIER 2009

    Vous retrouverez sur le site de L'ALAMBLOG une bibliographie complète de la revue Bizarre